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climatique
Épidéni. En parallèle du G20 qui s’est tenu à Rio de Janeiro (Brésil) lundi et mardi, le gouvernement brésilien a inauguré un mouvement contre les fake news sur le climat avec les Nations unies et l’Unesco.
Les pays riches ont enfin abattu leurs cartes à la conférence sur le climat de l'ONU à Bakou en proposant 250 milliards de dollars par an pour l'action climatique dans les pays en développement, selon un projet d'accord. Ce dernier est jugé "inacceptable" par les pays africains et fustigé par les ONG engagées dans la défense de l'environnement. Les négociations se poursuivent vendredi soir.
Il est très difficile, sinon impossible, d'établir un lien direct entre le changement climatique et l'instabilité. Ce qui est clair, en revanche, précise le Dr Eleonora Milazzo, c'est qu'il agit comme un accélérateur de risque.
Le rapport « 10 New Insights in Climate Science » avertit que les effets du changement climatique deviennent de plus en plus dramatiques et urgents. Rédigé par un consortium de scientifiques de renom, ce rapport met en évidence les impacts dévastateurs du réchauffement climatique, notamment l’augmentation des vagues de chaleur, la dégradation des océans, l’effondrement imminent de l’Amazonie, et les risques accrus pour la santé maternelle et reproductive.
Ce 20 novembre à la COP29 à Bakou, l’urbanisation est au cœur des discussions. Quel est le lien avec le climat ? Là où le sol est le plus bétonné, non seulement il y a de plus grands risques d’inondations mais c’est aussi là où les températures sont les plus chaudes l’été. Le réchauffement climatique combiné au phénomène d’îlot de chaleur fait que ces quartiers ne se refroidissent pas la nuit car la chaleur accumulée dans le béton est réverbérée.
A deux jours de la fin de la COP29 à Bakou, les pays riches se voient réclamer entre 440 et 900 milliards de dollars par an d'aide climatique pour le monde en développement, ont rapporté mercredi les ministres chargés de débloquer les négociations.Les pays développés sont pour leur part toujours silencieux sur le montant qu'ils sont prêts à contribuer, au-delà de leur promesse précédente de 100 milliards annuels, pour le "Nouvel objectif collectif quantifié" (NCQG selon son sigle anglais) de finance climatique que doit établir la conférence de l'ONU.
La hausse des températures océaniques a augmenté la vitesse des vents de tous les ouragans de l’Atlantique en 2024, selon une étude publiée mercredi 20 novembre, confirmant que le dérèglement climatique amplifie la puissance des tempêtes.
Dans un rapport publié début novembre, le réseau des banques centrales mondiales consacré au verdissement du système financier (NGFS) tire la sonnette d’alarme : si les trajectoires climatiques actuelles se poursuivent, les pertes économiques causées par l’emballement des températures pourraient atteindre 15 % du PIB l’échelle mondiale en 2050. Soit entre deux et quatre fois que ce qu’anticipaient les évaluations précédentes.
Depuis Bakou, les délégués et ONG présents à la conférence sur le climat de l'ONU (COP29) ont relevé des avancées sur la finance climatique dans la déclaration finale des dirigeants du G20 réunis à Rio dans la nuit de lundi à mardi, sans y voir d'impulsion décisive.Mais ils ont en revanche souligné clairement leur déception face à l'absence d'engagement à accélérer la transition vers l'abandon des énergies fossiles, une formulation qui était un acquis de la COP28 de Dubaï l'an dernier et n'a pas été repris à Rio.
Les participants de la conférence sur le climat de l'ONU (COP29) notent mardi les avancées générales sur la finance climatique pour les pays en développement contenues dans la déclaration du G20 à Rio, mais préviennent que le plus dur reste à accomplir à Bakou. D'autant que, le communiqué de Rio s'accompagne d'un silence des 20 puissances sur la sortie des énergies fossiles, une formulation arrachée à la COP28 de Dubaï mais qui n'a pas été reprise, ce qui sème la consternation parmi les ONG.- "Ordre de marche"-
L’objectif de la COP29 est d’inscrire dans le marbre le financement de 1 000 milliards de dollars par an d’aide climatique à destination des pays en développement. De l’avis général, le résultat de la première semaine de négociations a été quasi nul.
Des scientifiques appellent à exclure l'absorption de CO2 qui se fait par le milieu naturel, notamment grâce aux forêts, dans la comptabilisation par les pays de leurs objectifs climatiques, sans quoi des règles "vagues" risqueraient de voir la planète se réchauffer plus qu'anticipé.
La production devrait reculer de près de 30 % en 2024, à environ 20 000 tonnes. Les aléas climatiques, de plus en plus délétères, viennent s’ajouter aux autres causes de fragilisation des ruches.
Pas moins de 19 % des cas de dengue enregistrés en 2024 seraient attribuables au réchauffement climatique, qui favorise la propagation des maladies infectieuses transmises par les moustiques, selon des chercheurs..
Bien que l’Afrique contribue pour moins de 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, elle supporte une charge disproportionnée de la crise climatique en ayant, qui plus est, un accès restreint aux liquidités indispensables au financement de ses objectifs de développement et de ses ambitions climatiques. Le continent ne bénéficie ainsi que de 3 à 4 % du financement climatique mondial alors qu’il compte neuf des dix pays les plus vulnérables aux changements climatiques. L’objectif est de passer à 10 % d’ici à 2030, a soutenu M. Kariuki.
Des scientifiques appellent à exclure l'absorption de CO2 qui se fait par le milieu naturel, notamment grâce aux forêts, dans la comptabilisation par les pays de leurs objectifs climatiques, sans quoi des règles "vagues" risqueraient de voir la planète se réchauffer plus qu'anticipé.
« L’objectif devrait commencer à 1 100 milliards pour l’année prochaine. Et cela se situe plus ou moins dans la même fourchette que celle proposée par d’autres études », a déclaré Rebeca Grynspan, secrétaire générale de la CNUCED, à L’Observatoire de l’Europe. La question n’est plus seulement de savoir si les États mettront la main à la poche et rassembleront les liquidités, mais aussi s’ils agiront rapidement.
Le changement climatique rend plus probables les conditions météorologiques nécessaires à la propagation des incendies de forêt, selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Cette semaine, les dirigeants du monde se sont réunis à Bakou, en Azerbaïdjan, pour COP29 – le dernier cycle de négociations de l’ONU sur le climat. Et le Dr Goodall affirme qu’il est plus urgent que jamais d’agir pour ralentir le réchauffement de notre planète.
Dévoilé par le gouvernement le 25 octobre, le plan national d’adaptation au changement climatique (ou PNACC) invite à interroger la notion même d'adaptation. Peut-on réellement s'ajuster à une telle hausse des températures ? Et surtout, à quel prix ? Entretien avec Vivian Dépoues, chercheur à l’Institut de l’économie pour le climat.
Si l’on veut limiter l’augmentation de la température moyenne de la Terre à 1,5 °C, il va falloir investir dans tous les secteurs, et surtout dans celui de l’énergie, pour les aider à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.