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économiques
Taxer les très hauts patrimoines pour assurer une meilleure équité de l’effort fiscal, tout le monde devrait être pour. Mais ce n’est pas parce qu’une mesure semble juste, qu’elle sera aussi efficace.
Adopté il y a deux ans par les états membres des Nations Unies, le traité mondial de protection de la haute mer nécessitait la ratification de soixante pays pour enfin entrer en vigueur. C’est désormais chose faite avec la récente signature du Maroc. Que dit ce texte et quelles mesures seront possibles après son application en janvier 2026 ?
Il faut absolument se passer des délétères énergies fossiles car les coûts directs et indirects (dérèglement climatique, pollution, biodiversité, destruction de l'environnement,...) de leurs usages ne sont absolument pas soutenables. Mais s'en passer à des implications socio-économiques importantes qu'il y a lieu de comprendre et d'anticiper afin qu'une transition hors des énergies fossiles puisse se dérouler sans heurts.
Selon une étude, la rationalité des discours politiques aux États-Unis chute depuis les années 1970. Un déclin corrélé avec la polarisation du débat et les inégalités économiques, qui se ressent jusqu’en France.
Les tensions avec la Russie ont poussé la Pologne a fermé le principal point d'entrée ferroviaire en Europe pour les marchandises chinoises.
[Les idées reçues sur l’énergie] Beaucoup pensent qu’il faudrait arrêter de subventionner l’éolien et le photovoltaïque, qui coûteraient un pognon de dingue, alors que la France peut s’appuyer sur son nucléaire. Vraiment ?
Lorsque survient une crise économique majeure, les regards se tournent naturellement vers les facteurs financiers : déséquilibres budgétaires, surendettement, spéculation, erreurs de gouvernance, etc. Sans occulter leurs impacts respectifs, une autre variable, à nos yeux essentielle, reste trop souvent absente des analyses : la disponibilité énergétique. Toute économie repose en effet sur un socle physique invisible mais décisif : sa capacité à mobiliser de l’énergie abondante, bon marché et stable pour produire, transformer, transporter et consommer. Lorsque ce socle vacille, les structures économiques sont mises à rude épreuve. […] Le choc énergétique est le moteur physique du déraillement économique, le déclencheur de la crise dans une situation en déséquilibre.
Une question se pose aux écologistes : comment stopper le « backlash » contre l’écologie, cette offensive réactionnaire contre les politiques soutenues et développées depuis près de vingt ans ? Car un constat terrible s’impose : les politiques écologiques se heurtent à la défiance, voire à l’hostilité, des classes populaires, notamment hors des grandes agglomérations.
En se basant sur les dernières données d’une ONG, un média a élaboré une infographie très parlante à propos des coûts réels qu’engendrent les différents aléas climatiques de grande ampleur. Alors que ces aléas sont favorisés par l’actuel dérèglement climatique, les coûts dont il est ici question concerne l’aspect économique, les décès mais également, les impacts sur le quotidien des survivants.
L’Institut des actuaires organise et représente la profession en France. Il est le garant de l’exercice d’un actuariat de qualité, respectueux des normes et de la déontologie au service des équilibres de long terme. Membre de l’Association Actuarielle Internationale (AAI) et de l'Association Actuarielle Européenne (AAE), il s’emploie à améliorer la reconnaissance et la réputation de la profession d’actuaire en France et dans le monde. Chargé d’organiser et de représenter la profession actuarielle en France, l’Institut des actuaires est le garant du respect des normes et de la déontologie professionnelle de ses membres. L’exigence et la responsabilité de l’Institut s’accroissent avec la multiplication des risques et l’évolution des textes prudentiels, qui placent l’actuaire au cœur des enjeux économiques de nos sociétés.
Il existe des limites techniques, économiques et politiques à l'assurance des biens matériels et le changement climatique réduit l'étendue de l'assurabilité.
Le président américain Donald Trump a assuré qu'il allait nommer dans la semaine une nouvelle personne à la tête de la principale agence de statistiques économiques des Etats-Unis, dont il vient de renvoyer la commissaire, soulevant des inquiétudes sur l'indépendance de cet organisme.
Ajoutant à la violence la famine et la soif, le siège hors d’âge dans lequel Israël enferme l’enclave palestinienne commande des réactions à la hauteur du carnage en cours, c’est-à-dire des sanctions – politiques, diplomatiques, économiques ou culturelles.
En plus d’être une initiative forte, le texte qui dit non à l’acétamipride impose le débat sur les contradictions de nos modèles économiques et agricoles.
Dans Le monde confisqué. Essai sur le capitalisme de la finitude (XVIe-XXIe siècle), publié aux éditions Flammarion début 2025, Arnaud Orain décrit l’émergence d’un « capitalisme de la finitude », en rupture avec le néolibéralisme et fondé sur l’idée d’un monde limité dont il faut s’approprier les ressources. Il met en lumière les formes autoritaires et prédatrices que prend aujourd’hui le capitalisme et questionne les scénarios de transition sur lesquels l’Europe fonde ses espoirs.
Nous sommes à un moment unique de l’histoire. L’année 2025 pourrait bien être retenue par les générations futures comme un point de bascule entre deux époques radicalement différentes. D’un côté, un 20e siècle qui s’achève, marqué par des systèmes politiques, économiques et énergétiques rigides qui ont façonné notre monde pendant près d’un siècle. De l’autre, un 21e siècle naissant, porté par des technologies révolutionnaires qui promettent de redessiner notre manière de vivre, de travailler, et même de penser.
En matière de politique énergétique, l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche marque le retour d’un climatoscepticisme assumé sous des formes multiples : remise en cause des acquis scientifiques, attaque contre les institutions fédérales chargées de mener les recherches sur le changement climatique et ses conséquences et soutien à l’exploitation des énergies fossiles.
Aux côtés des indicateurs traditionnels comme le PIB, la priorité doit être de se doter d’une mesure corrigée des effets de l’activité sur l’environnement, juge Jean Pisani-Ferry, dans sa chronique.
Six chercheurs, membres du collectif Social-Ecological Transitions, parmi lesquels l’économiste Eloi Laurent et le politiste Bruno Palier, appellent, dans une tribune au « Monde », à la mise en œuvre d’une sécurité sociale écologique pour maintenir les acquis de la Sécurité sociale, créée il y a bientôt quatre-vingts ans.
ONU, Banque mondiale, OCDE : les instances internationales travaillent de plus en plus sur des indicateurs économiques alternatifs au PIB. Une conversion lente, qui n'a toujours pas permis de détrôner l'indicateur roi.
L’économiste Alain Grandjean et l’investisseur Fanny Picard appellent, dans une tribune au « Monde », les acteurs économiques européens à accompagner la transition écologique, sous peine de voir s’effondrer notre société tout entière.
L’escroc du siècle Bernard Madoff a fini ses jours dans une prison fédérale de Caroline du Nord, en avril 2021, à l’âge de 82 ans. Ses cadets ne semblent pas en voie de subir cette funeste destinée : le président américain, Donald Trump, n’en finit pas de gracier les délinquants économiques, arnaqueurs d’épargnants, menteurs invétérés. « Les grâces de Trump montrent qu’il n’y a jamais eu de meilleur moment pour être un escroc en col blanc », écrit le site d’information Axios.
Derrière l'omnibus et le mouvement de simplification du Green Deal, c'est l'action coordonnée des lobbys européens contre la régulation qui opère.
L’appétit des Gafam et le contexte géopolitique ont relancé les recherches sur les centrales nucléaires dans le monde, avec l’espoir de produire en série des petits réacteurs à coût réduit et sécurité renforcée.
Economiste et historien, Arnaud Orain vient de publier un ouvrage passionnant (Le Monde confisqué. Essai sur le capitalisme de la finitude, XVIe-XXIe siècle, Flammarion) sur la dynamique de notre capitalisme. Il montre que ses caractéristiques ressemblent fortement à celles observées aux XVIIe et XVIIIe siècle, puis entre les années 1880 et la Seconde Guerre mondiale. Un capitalisme qui n’a rien de libéral, dominé par des acteurs publics et privés puissants qui s’affrontent dans un monde aux ressources et aux richesses finies dans lequel « il n’y en aura pas pour tout le monde ». Or face à une mondialisation de plus en plus conflictuelle, l’Europe paraît singulièrement mal armée…
Puisque le 23 décembre 2024 sera l'occasion de marquer le premier anniversaire de la mort de Robert Solow, qui aurait eu cent ans cette année, je voudrais profiter de l'occasion pour me pencher d'un peu plus près sur son héritage théorique. Mon objectif est de montrer que le prix Nobel d'économie 1987 a diffusé des façons de penser qui ont marqué durablement les esprits très au-delà de son propre courant de pensée. Au point que l'on peut trouver dans les conceptions actuelles de la transition écologique et énergétique une proximité troublante avec les raisonnements défendus par ce grand économiste.
Franchir les points de bascule écologiques aurait un coût économique gigantesque, selon plusieurs études scientifiques récentes. Des données qui rappellent l’urgence d’atténuer la crise écologique avant d’être face à des conséquences irréversibles en cascade.
Le budget carbone mondial serait épuisé en moins de deux jours si toute la population consommait comme les 50 personnes les plus riches de la planète, a écrit l’organisation internationale Oxfam dans un rapport publié à veille de la dernière COP climat. Et les pauvres seraient les premières victimes du réchauffement.
La pêche « durable », un concept en voie d'épuisement
En réaffirmant son soutien au « Green deal », la présidente de la Commission européenne a pu rallier une large majorité. Mais des alliances entre la droite et l’extrême droite pourraient compromettre des textes clefs.
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