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focusclimat France

décembre 2024

Ilian Moundib, ingénieur en Stratégie de Résilience Climatique, auteur de "S'adapter Fake or Not", était l'invité de Laure Closier dans Good Morning Business, ce jeudi 12 décembre. Ils sont revenus sur les nouvelles projections de hausse de températures en France d'ici la fin du siècle par Météo-France et les moyens de s'adapter à ce changement climatique, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
À Riyad, en Arabie saoudite, les négociateurs de la conférence de l'ONU sur la désertification n'ont pas réussi à se mettre d'accord pour faire face à la sécheresse, malgré une nuit supplémentaire de discussions.
Environ 1,4 milliard d'hectares, soit 10,7 % des terres de la planète, sont touchés par une hausse de la teneur en sel, selon un rapport publié mardi par l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). Une salinisation amplifiée par le réchauffement climatique et les activités humaines, avec des conséquences néfastes pour l'agriculture et l'alimentation.
Alors que 2024 sera la première année au-dessus d'1,5°C de réchauffement climatique, une étude révèle que cela pourrait accélérer l'extinction des espèces animales.
Ci-dessous, les points de vue de trois spécialistes sur le plan national d’adaptation au changement climatique, présentés tour à tour lors d’une audition publique organisée par Generation Ecologie le 26 novembre – et, concernant la première intervention de Gonéri Le Cozannet, lors d’un colloque « Cour des comptes – CNRS » du 21 novembre.
De nouvelles recherches, rendues publiques le 18 novembre dans la revue Nature, établissent un lien de cause à effet entre la fonte des glaces et le ralentissement d'un courant océanique crucial pour la régulation du climat. Si les prévisions doivent être lues avec prudence en raison des variabilités naturelles, les conséquences désastreuses auxquelles mènerait cet effondrement font consensus et appellent à un sursaut immédiat.

novembre 2024

Les températures relevées dans le sud de la France interpellent les climatologues.
Le Conseil des ministres, sur proposition du ministère espagnol du Travail, a approuvé jeudi un décret-loi royal contenant des mesures en matière de travail et de prévention des risques liés au changement climatique et aux catastrophes. Il prévoit notamment un "congé payé climatique".
Les courants marins de l’océan Atlantique, qui façonnent une grande partie du climat mondial, changent de manière préoccupante. L’un des phénomènes les plus inquiétants est l’affaiblissement de la circulation méridionale de retournement de l’Atlantique (AMOC), un système de courants vitaux pour l’équilibre climatique de la Terre. En effet, ce processus, connu sous le nom de « grand convoyeur océanique », joue un rôle clé dans la régulation des températures et des conditions météorologiques à travers le monde. Selon des chercheurs, l’effondrement des courants de l’océan Atlantique pourrait être imminent, avec des conséquences catastrophiques au niveau mondial.
Réunis à Bakou, en Azerbaïdjan, les pays développés se sont engagés à tripler leurs prêts et dons aux pays en développement d'ici 2035. Pour Marie Toussaint, c'est une "trahison absolue".
L'accord conclu dimanche à la COP29 est "décevant" et "pas à la hauteur des enjeux", a regretté dimanche la ministre française de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher.Malgré "plusieurs avancées", dont le triplement des financements en faveur des pays pauvres menacés par le changement climatique, la conférence de Bakou a été marquée "par une vraie désorganisation et une absence de leadership de la présidence" azerbaïdjanaise, a affirmé la ministre dans une déclaration transmise à l'AFP.
"Au moins 300 milliards de dollars" annuels d'ici 2035 pour les prêts et dons aux pays en développement : les pays développés se sont engagés dimanche à Bakou à financer davantage les pays pauvres menacés par le changement climatique, au terme d'une conférence de l'ONU chaotique en Azerbaïdjan dont de nombreux acteurs repartent déçus et en colère.
La COP29 est entrée en prolongations samedi, après douze jours de négociations infructueuses.
Faute d'accord sur l'objectif de financement, la conférence sur le climat est entrée dans les prolongations. "Franchement, c'est assez navrant", réagit Lucie Basch, cofondatrice de l'application Too Good To Go.
Les pays riches ont enfin abattu leurs cartes à la conférence sur le climat de l'ONU à Bakou en proposant 250 milliards de dollars par an pour l'action climatique dans les pays en développement, selon un projet d'accord. Ce dernier est jugé "inacceptable" par les pays africains et fustigé par les ONG engagées dans la défense de l'environnement. Les négociations se poursuivent vendredi soir.
Une nouvelle alerte sur le manque d'ambition des politiques mondiales de réduction des gaz à effet de serre. Selon l'outil Climate Action Tracker, nous sommes sur la voie d'un réchauffement de 2,7°C à la fin de ce siècle.Et ce ne sont pas les marchés carbone qui vont nous aider. Si leur régulation a été adoptée au début de cette COP, il reste des zones d'ombre. Et ces crédits pourraient au mieux être inefficaces et au pire nous faire perdre un temps précieux.
Déni-oui-oui. L’appellation «climatosceptiques» est un grand fourre-tout qui regroupe des familles bien différentes, dont l’organisation Parlons climat vient de brosser le portrait comme jamais auparavant. Sont-ils forcément d’extrême droite ? Plutôt masculins ? Quelles sont leurs préoccupations et comment leur parler ? Tour d’horizon d’un sujet brûlant.
La sortie des énergies fossiles "reste toujours d'actualité" et il faut "maintenir la pression" pour que cet objectif soit réaffirmé au niveau international, a estimé mardi la ministre française de la Transition écologique et de l'Energie dans un entretien aux Echos.Cette question d'une réduction progressive du recours au pétrole, charbon et au gaz pour tenter d'enrayer le réchauffement climatique faisait partie de l'accord obtenu l'an dernier à la COP28 de Dubaï. Mais depuis, elle semble progressivement reléguée au second plan voire remise en cause par certains.
La production devrait reculer de près de 30 % en 2024, à environ 20 000 tonnes. Les aléas climatiques, de plus en plus délétères, viennent s’ajouter aux autres causes de fragilisation des ruches.
Pendant les vagues de chaleur, les îlots de chaleur urbains (ICU) affectent les villes. Les personnes âgées, les enfants ou les ménages pauvres sont particulièrement vulnérables. Nous présentons la première mesure de l’exposition aux ICU en France en fonction du revenu. Le lien entre l’exposition et le revenu varie selon que les ménages aisés vivent dans les centres-villes, comme à Paris, ou dans les banlieues riches, comme à Lyon.
Selon Eurostat, qui publie les statistiques annuelles pour chaque pays européen, cette intensité carbone a significativement baissé en France et en Allemagne entre 2013 et 2022, mais l’industrie manufacturière française semble nettement plus carbonée que son homologue allemande. Quelle est l’origine − technologique, économique, statistique − de cet avantage allemand ?
Joe Biden est arrivé dimanche à Manaus pour une visite historique en Amazonie, la première d'un président américain en exercice. Il a lancé un message pour protéger l'environnement à l'adresse de son successeur Donald Trump.
Du 11 au 22 novembre se tient la Cop 29 sur le climat. Peut-on encore agir sur le réchauffement climatique ? Le traité de libre-échange entre l’UE et le Mercosur pourrait bientôt être ratifié, traité auquel s'oppose la France. Mais a-t-elle encore les moyens de sa souveraineté alimentaire ?
Dévoilé par le gouvernement le 25 octobre, le plan national d’adaptation au changement climatique (ou PNACC) invite à interroger la notion même d'adaptation. Peut-on réellement s'ajuster à une telle hausse des températures ? Et surtout, à quel prix ? Entretien avec Vivian Dépoues, chercheur à l’Institut de l’économie pour le climat.
L’épargne nette ajustée des effets liés au climat est négative en France : Les émissions de gaz à effet de serre présentent un coût implicite qui n'apparaît pas dans les indicateurs macroéconomiques usuels. Ce coût implicite recouvre à la fois les dommages induits par le dérèglement climatique et le coût à payer pour décarboner les productions et ainsi éviter des dommages futurs encore plus importants. Des premiers travaux se sont intéressés à la manière de prendre en compte ces phénomènes dans un cadre de comptabilité nationale. L’Insee apporte par ce document sa contribution à ces recherches. Il ne s'agit pas à ce stade de figer un nouveau cadre de production récurrente mais d'en esquisser une voie possible,
L’agence de la transition écologique (ADEME) vient de publier son nouveau baromètre sur « les représentations sociales du changement climatique des Français ». Efforts individuels, attentes vis-à-vis des pouvoirs publics, normalisation des désordres climatiques... Voici les grandes tendances à retenir de ce texte.
À l’occasion de la COP29, qui se tient actuellement en Azerbaïdjan, France 24 a enquêté sur les fuites de méthane en Roumanie, pays qui abrite les plus grandes réserves de pétrole d’Europe. Le méthane est un puissant gaz à effet de serre, en partie responsable du réchauffement climatique.
Dans un contexte de préoccupations croissantes concernant le changement climatique, l’INSEE a entrepris de développer des « comptes augmentés » pour pallier les limites des systèmes de comptabilité nationale traditionnels. Cette approche innovante vise à intégrer les coûts environnementaux, tels que ceux liés aux émissions de gaz à effet de serre, dans la mesure de la production économique et de l’épargne nationale.
Au Malawi, les effets conjugués des cyclones et des épisodes de sécheresse, amplifiés par le dérèglement climatique, ont plongé le pays dans l'insécurité alimentaire. Si des tentatives d'adaptation commencent à émerger dans ce pays dépendant de son agriculture, elles peinent à se généraliser.
La vingt-neuvième conférence de l'ONU pour le climat s'ouvre lundi à Bakou en Azerbaïdjan. Principal objectif : trouver des centaines de milliards de dollars pour aider les pays les plus vulnérables à s'adapter au changement climatique. Des débats qui s'annoncent difficiles, d'autant plus que de nombreux chefs d'États ne seront pas présents. Un sommet qui débute six jours après l'élection du climato-sceptique Donald Trump à la présidence des États-Unis, deuxième pays le plus émetteur de CO2.
À peine ouverte, la COP29 de Bakou suscite déjà des critiques. Le choix de l'Azerbaïdjan, l'un des principaux producteurs d'hydrocarbures, comme pays hôte des négociations, après Dubaï l'an dernier, déplaît à certains États, notamment la Papouasie-Nouvelle-Guinée qui a décidé de boycotter l'événement.
À l'issue d'une première journée poussive et après des heures de retard en raison de dissensions entre blocs de pays, les près de 200 États représentés à la COP29 ont fini par adopter les premières règles pour le marché des crédits carbone, jusqu'ici sans régulation internationale et sujet à abus, fraudes et écoblanchiment.
La 29e conférence sur le climat de l'ONU s'est ouverte, lundi, en Azerbaïdjan, avec pour principal enjeu de trouver un compromis sur les montants d'aide financière à destination des pays les plus pauvres et vulnérables au changement climatique.
Après Dubaï en 2023, la nouvelle COP sur le climat qui s’ouvre ce lundi est organisée dans un autre pays exportateur d’hydrocarbures : l’Azerbaïdjan. L’argent du pétrole et du gaz sponsorise en quelque sorte l’événement présidé par un ancien vice-président de la compagnie nationale pétrolière d’Azerbaïdjan. Un certain nombre d’acteurs, dont la Papouasie-Nouvelle-Guinée, préfèrent tout simplement bouder cette COP, ne la jugeant pas crédible.
Le réchauffement des océans et des mers est un enjeu majeur dans le contexte du changement climatique actuel. Les conséquences seront nombreuses d'ici à la fin du siècle : orages violents, nuits tropicales, canicules marines… Quelles répercussions auront ces phénomènes sur notre quotidien et notre santé ?
L'élection de Donald Trump signe la fin de l'espoir de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C. Selon l'organisation britannique Carbon Brief, ce mandat alourdira de 4 milliards de tonnes équivalent CO2 d'ici 2030, le bilan carbone des Etats-Unis. Il veut aussi démanteler la NOAA, l'agence américaine de surveillance du climat et l'agence américaine de protection de l'environnement.
Alors que la COP29 s'ouvre dans quelques jours, le service européen Copernicus estime, jeudi, qu'"il est désormais quasiment certain que 2024 sera l'année la plus chaude jamais enregistrée et la première année avec plus d'1,5° C au-dessus des niveaux préindustriels".
Le ministère français de la Transition écologique a confirmé lundi son objectif de réduire de moitié les émissions brutes de gaz à effet de serre de la France d'ici 2030 par rapport à 1990. La part des énergies fossiles doit baisser tandis que celle de l'électricité doit augmenter, notamment grâce à la construction de réacteurs nucléaires de nouvelle génération.
La France va fortement réduire sa consommation d'énergies fossiles d'ici 2030, avec en ligne de mire la diminution de 50% de ses émissions brutes de gaz à effet de serre par rapport à 1990, a annoncé le gouvernement en présentant lundi sa feuille de route pour l'énergie et le climat d'ici à 2050.
Combien de nucléaire, d'éoliennes et de panneaux solaires? Combien de voitures électriques? Comment s'adapter aux inondations à répétition? Après des mois de retard et juste avant la COP29 à Bakou, la France présente lundi ses feuilles de route pour l'énergie et le climat d'ici 2030.


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