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Israël Palestine Gaza guerre
Après l’élan diplomatique suscité par l’annonce de la reconnaissance de l’Etat de Palestine par la France, les deux historiens demandent à Emmanuel Macron, dans une tribune au « Monde », de faire pression sur le gouvernement Nétanyahou pour faire cesser la famine à Gaza et obtenir la libération de tous les otages.
Près de 600 anciens responsables de l'appareil sécuritaire en Israël ont appelé, lundi, le président américain Donald Trump à faire pression sur Benjamin Netanyahu pour mettre fin à la guerre à Gaza. "Traquer les derniers hauts responsables du Hamas peut être fait plus tard", mais les "otages ne peuvent pas attendre", insistent-ils.
Des hauts responsables, parmi lesquels plusieurs ex-patrons du Mossad et du Shin Bet, ont appelé le président américain à faire pression sur Benyamin Nétanyahou en vue d’un accord.
Près de 600 anciens responsables de l'appareil sécuritaire en Israël, parmi lesquels plusieurs ex-patrons du Mossad et du Shin Bet, ont appelé le président américain Donald Trump à faire pression sur le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour mettre fin à la guerre à Gaza.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déposé lundi un plan pour occuper toute la bande de Gaza, rapportent lundi les médias israéliens.
Le militant de la gauche pacifiste israélienne assure par ailleurs rester « désespérément fidèle » à l’idée d’une solution à deux Etats, la Palestine et Israël, dans une interview pour « La Repubblica ».
Le mouvement islamiste palestinien Hamas a prévenu ce samedi 2 août 2025 qu'il ne déposera pas les armes à moins qu'un État de Palestine indépendant soit officiellement établi. "La résistance et ses armes sont un droit légal tant que l'occupation (israélienne) se poursuit", a-t-il indiqué par voie de communiqué, précisant qu'il demandait en premier lieu "la création d'un État palestinien souverain et indépendant avec Jérusalem comme capitale".
De nouveaux raids aériens et bombardements israéliens ont fait au moins 32 morts selon la Défense civile à Gaza. L'agence palestinienne Wafa évoque pour sa part 35 morts et le média Al Jazeera établit un bilan de 57 décès. La plupart seraient majoritairement des personnes frappées alors qu'elles attendaient de l'aide alimentaire dans une enclave menacée par la famine.
Après 22 mois de guerre, le peu de nourriture qui entre à Gaza est aussitôt pris d'assaut par des foules affamées risquant leur vie sous les tirs, pillé par des gangs criminels ou encore détourné dans le plus grand chaos, sans atteindre ceux qui en ont le plus besoin.
En tant que fille d'un survivant d'Auschwitz, je ne peux pas garder le silence devant ce que mon pays inflige aux Palestiniens de Gaza. Le serment du "plus jamais" ne peut conserver sa dignité que s'il englobe chaque vie humaine, sans distinction. La souffrance du peuple israélien après le 7 octobre ne peut justifier l'effacement d'un autre peuple.
Un collectif d’intellectuels appelle, dans une tribune au « Monde », à la libération du leader palestinien, membre du Fatah emprisonné depuis 2002, qui défend une résolution politique au conflit entre Israël et la Palestine.
Le gouvernement allemand a estimé, samedi, que les "premiers progrès limités" dans l’acheminement de l’aide humanitaire vers la bande de Gaza restaient "très insuffisants". La veille, l’armée allemande avait commencé, à l’instar d’autres pays cette semaine, à larguer des vivres au-dessus du territoire palestinien.
Face au jusqu’au-boutisme israélien, la volonté de la France a le mérite de réintroduire de la politique alors que l’absence de toute perspective sert les extrêmes depuis des années. Mais rien ne garantit que le frémissement constaté porte ses fruits.
Pressions, menaces, sanctions : les Etats-Unis, leur allié israélien et quelques pays européens ont multiplié, depuis le printemps 2024, les manœuvres visant à empêcher l’inculpation de Benyamin Nétanyahou par la CPI.
Writer says for many years he has refused to use word but now must ‘with immense pain and with a broken heart’
L’ancien Haut Représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité exhorte l’Union européenne et ses Etats membres à agir dès à présent pour faire cesser « ce génocide et ces violations du droit international ».
Lisbonne annonce ce jeudi 31 juillet que le Président et le Parlement seront consultés sur la question, emboîtant ainsi le pas de Paris, Londres et Ottawa.
La reconnaissance devrait intervenir en septembre à l’Assemblée générale de l’ONU, aux côtés de la France et du Royaume-Uni. Un changement de politique condamné vigoureusement par Israël.
La France a appelé jeudi à la cessation des activités de la Fondation humanitaire de Gaza, chargée ces dernières semaines de la distribution de l'aide alimentaire dans l'enclave palestinienne. Celle-ci est au centre de critiques après la mort de plus d'un millier de Palestiniens à proximité de ses sites de distribution, selon l'Onu.
La France et 14 nations occidentales ont lancé un "appel collectif" aux autres pays du monde à exprimer leur volonté de reconnaître un État de Palestine, a indiqué, mercredi, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Un appel lancé à l'issue d'une conférence ministérielle à l'ONU pour une solution à deux États pour sortir du conflit israélo-palestinien.
La Gaza Humanitarian Foundation (GHF), l'organisation chargée ces dernières semaines de la distribution de l'aide alimentaire dans l'enclave palestinienne, est au centre de critiques après la mort de plus de 760 Palestiniens à proximité de ses sites de distribution. Pour la première fois, un ancien employé de la GHF prend la parole publiquement, accusant son ancien employeur de participer à des "crimes de guerre".
Mardi 29 juillet, le premier ministre britannique, Keir Starmer, a annoncé que le Royaume-Uni reconnaîtrait l’Etat de Palestine lors de la prochaine Assemblée générale de l’ONU, en septembre. D’autres Etats comme le Canada, l’Australie et le Portugal pourraient suivre. Une « dynamique » dont Paris se félicite.
Le chatbot Grok, l'IA d'Elon Musk, est utilisé par des internautes pour authentifier des photographies documentant la famine à Gaza. Mais l'Intelligence artificielle, intégrée à la plateforme X du milliardaire, fait des erreurs qui deviennent alors des prétextes pour nier l'existence de la catastrophe humanitaire.
Les deux organisations israéliennes, qui ont publié lundi 28 juillet un communiqué corroborant les accusations génocidaires visant le pouvoir israélien, critiquent les actions de leur pays en territoire occupé depuis plusieurs décennies.
La crise humanitaire y « a atteint un tournant alarmant et mortel », souligne ce rapport, fruit du travail d’organisations non gouvernementales, d’institutions régionales et d’agences de l’ONU spécialisées.
C'est ce qu'a annoncé mardi le Premier ministre britannique.
Poussée par la France et l’Arabie saoudite, l’ONU se penche à partir de lundi sur l’avenir menacé de la solution à deux Etats, israélien et palestinien, au moment où la pression internationale sur Israël s’intensifie pour mettre un terme à la guerre à Gaza.
La conférence convoquée lundi par l'Assemblée générale des Nations unies et coprésidée par la France et l'Arabie saoudite espère enclencher une dynamique pour la reconnaissance de l'État de Palestine. Cette réunion intervient alors que "la perspective de l'existence" d'un tel État "n'a jamais été aussi menacée", selon le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot.
L’Organisation mondiale de la santé fait état d’« un pic de décès en juillet » liés à la malnutrition. Cette crise « reste entièrement évitable », affirme l’organisme onusien, alors que les largages d’aide ont repris hier sur l’enclave palestinienne. Israël a mis en place une pause quotidienne des combats dans certains secteurs.
B’Tselem et Physicians for Human Rights sont deux organisations phares de la société civile israélienne, à la pointe de la défense des droits humains. Elles publient conjointement, lundi 28 juillet, deux rapports qui concluent que l’armée poursuit à Gaza une politique intentionnelle de destruction de la société palestinienne.
Le président américain Donald Trump a annoncé lundi que les États-Unis allaient mettre en place des "centres alimentaires" à Gaza, ajoutant qu'il y avait des signes d'une "réelle famine" dans le territoire palestinien.
A travers une carte et des images satellites, « le Monde » montre le quotidien des 2,1 millions de Gazaouis, réduits à vivre dans les trois zones, fragmentées, de l’enclave qui ne sont pas soumises aux ordres d’évacuation ou à la présence militaire israélienne.
Le Hamas "doit abandonner le contrôle" de la bande de Gaza et rendre les armes, a plaidé lundi le Premier ministre palestinien Mohammad Mustafa à la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU.
S’alarmant des niveaux de malnutrition dans l’enclave, Berlin, fidèle soutien d’Israël dans sa lutte contre le Hamas, s’est entendu avec la Jordanie pour acheminer denrées alimentaires et fournitures médicales sur place
Des soldats israéliens sont montés samedi à bord du Handala, un bateau exploité par le mouvement propalestinien "Flottille pour la liberté" qui se dirigeait vers Gaza, pour en prendre le contrôle selon une retransmission en direct diffusée par le groupe.
L’Etat hébreu fait ces annonces ce dimanche 27 juillet au matin, après des semaines de tensions internationales autour du sort des habitants de l’enclave palestinienne, sans nourriture ni médicaments depuis des semaines.
L’armée israélienne vient d’annoncer une « pause tactique » dans ses opérations militaires tous les jours de 10 heures à 20 heures. Trois zones sont concernées par ces pauses : Al-Mawassi, Deir Al-Balah et la ville de Gaza.
Réagissant à l'alerte lancée par l'ONU et les ONG qui dénoncent un risque de famine imminente et généralisée dans la bande de Gaza, la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne ont appelé le gouvernement israélien à mettre fin à "la catastrophe humanitaire" dans le territoire palestinien et à "lever immédiatement les restrictions sur l'acheminement de l'aide".
Plus de 40 ex-diplomates de l’UE, indignés par le massacre d’Israéliens du 7 Octobre et les crimes atroces contre le peuple palestinien, appellent à des mesures contre les actions illégales menées par Israël, à Gaza et en Cisjordanie.
Emmanuel Macron a annoncé jeudi soir que la France allait reconnaître l'État de Palestine en septembre. Une décision décriée par Israël comme une "récompense de la terreur" et "fermement" rejetée par les États-Unis.
Le chemin vers la reconnaissance d’un Etat palestinien est encore long et il reste de nombreux obstacles mais quelle est l’alternative ?
Ajoutant à la violence la famine et la soif, le siège hors d’âge dans lequel Israël enferme l’enclave palestinienne commande des réactions à la hauteur du carnage en cours, c’est-à-dire des sanctions – politiques, diplomatiques, économiques ou culturelles.
Depuis que l’armée israélienne a placé l’enclave sous blocus humanitaire, début mars, une centaine d’habitants sont morts de faim. Ce bilan risque de s’aggraver très vite, alors que 600 000 personnes souffrent de malnutrition.
Personne ne sait quand le calvaire des Palestiniens de la bande de Gaza prendra fin. Ce que l'on sait par contre, c'est que le désastre humanitaire continue de s'étendre et de se décliner en conséquences de plus en plus délétères pour les Gazaouis, tant sur le plan alimentaire que sanitaire.
L’arme de la faim est utilisée par la coalition de Benyamin Nétanyahou pour inciter les Palestiniens à partir. Elle veut les masser dans une « ville humanitaire », dans le sud de l’enclave, en prélude à leur possible transfert vers des pays étrangers.
A Gaza, les journalistes présents sur place sont en proie à une famine qui ne cesse de s’accroître. Ils craignent pour leur vie. L’AFP a recueilli leurs témoignages, que Libération publie.
Médecins sans frontières, Médecins du monde, Caritas, Amnesty International, Oxfam International… Les organisations humanitaires s’alarment ce mercredi 23 juillet du péril encouru par les habitants de l’enclave palestinienne.
Les bombardements et la pénurie de carburant ont mis hors service une grande partie du réseau hydraulique de l’enclave. Remplir un simple jerrycan d’eau potable est devenu un parcours du combattant. L’armée israélienne interdit même aux Palestiniens d’accéder à la mer, sous peine de représailles.
Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a affirmé mercredi qu’une "grande proportion" de la population à Gaza mourrait de faim.
Des dirigeants de l’extrême droite israélienne ont tenu mardi une réunion publique au Parlement à Jérusalem pour discuter d’un plan visant à transformer en "riviera" la bande de Gaza, à l’heure où les habitants de ce territoire sont confrontés à la famine.
Dans un communiqué paru lundi 21 juillet, la rédaction rappelle travailler avec dix personnes dans le territoire palestinien, toutes menacées par la famine, les tirs ou les maladies.
Le collectif Droit pour Gaza en compagnie de victimes palestiniennes et d’autres associations intente une action en justice contre l’Etat belge pour "inaction face au génocide et aux crimes de guerres commis par Israël". L’objectif ? Contraindre la Belgique à agir en vertu de ses obligations internationales. Avec quelles réelles chances d’aboutir ?
Le document s’inquiète du manque de financement de l’agence chargée des réfugiés palestiniens et des obstacles à son fonctionnement posés par Israël. Le rapport suggère, parmi plusieurs scénarios, de resserrer son mandat sur la protection des droits des réfugiés, en confiant aux pays hôtes les services que l’agence assumait jusque-là.
Les documents attestant du statut de réfugiés de centaines de milliers de Palestiniens ont été sortis de l’enclave dans les premiers mois de la guerre, sous les bombardements israéliens, et mis à l’abri en Jordanie. « Le Monde » retrace en exclusivité le déroulement de cette opération jusqu’ici tenue secrète.
Mardi 22 juillet, l’Organisation des Nations Unies a imputé à Israël plus de 1 000 décès depuis fin mai dans la bande de Gaza d’individus qui cherchaient à se procurer de la nourriture.
"La guerre à Gaza doit cesser immédiatement", écrivent les signataires.
"La résidence du personnel de l'OMS à Deir el-Balah, dans la bande de Gaza, a été attaquée trois fois aujourd'hui".
Israël a rejeté l’appel émis par 25 pays, dont la Belgique, à mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza. L’État hébreu considère que la déclaration "ne correspond pas à la réalité et envoie un message erroné au Hamas", a publié le ministère israélien des Affaires étrangères sur la plateforme X.
L’armée israélienne étend ses opérations dans la ville de Deir al-Balah, au centre de la bande de Gaza. C’est ce qui ressort d’une déclaration du porte-parole de l’armée, qui a appelé les habitants à quitter la zone dans un message en arabe posté sur X dimanche. L’armée annonce une opération contre les combattants du Hamas dans un secteur du territoire palestinien "où elle n’avait encore jamais opéré".
Le pape Léon XIV a appelé dimanche à mettre fin à la "barbarie" de la guerre à Gaza et à "l'usage aveugle de la force", quelques jours après une frappe israélienne meurtrière contre une église catholique.
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