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Chris
Alors qu’Elon Musk est en froid avec Donald Trump, au point de vouloir créer son propre parti politique, le milliardaire peut désormais se vanter d’avoir fait naître une nouvelle ville, au sud-est du Texas. Ce qui n’est pas sans poser des problèmes humains et environnementaux.
Sous couvert de décarbonation, un projet de réindustrialisation de la zone industrialo-portuaire de Fos-sur-Mer, qui héberge des industries lourdes depuis le XIXe siècle, pourrait voir le jour. Il impliquerait notamment la création d’un « hub » d’hydrogène vert. Mais il n’est pas aussi vertueux au plan environnemental qu’il n’y paraît : il entretient la confusion entre décarbonation et dépollution. Surtout, il n’implique pas assez les populations locales dans la prise de décision.
Derrière la chaleur se cache une urgence sociale et sanitaire. Le député du Puy-de-Dôme, Nicolas Bonnet et le délégué général de la Fondation pour le logement des défavorisés, Christophe Robert ainsi que Cécile Duflot, Thomas Piketty et Jean Jouzel demandent un plan sérieux avec un budget et un cadre juridique dédiés.
Malgré le ralentissement des émissions globales de gaz à effet de serre (GES), les voyants du climat restent dans le rouge, nous rappelle le rapport Indicators of Global Climate Change 2024 récemment publié. Ce rapport permet également d’identifier trois leviers d’action à mettre en œuvre pour stabiliser le stock atmosphérique de GES à l’origine du réchauffement global.
Malgré le ralentissement des émissions globales de gaz à effet de serre (GES), les voyants du climat restent dans le rouge, nous rappelle le rapport Indicators of Global Climate Change 2024 récemment publié. Ce rapport permet également d’identifier trois leviers d’action à mettre en œuvre pour stabiliser le stock atmosphérique de GES à l’origine du réchauffement global.
Le Comité d’éthique du CNRS publie un nouvel avis intitulé « Manipuler les virus, manipuler le climat ? Comment juger de ce qui est responsable en recherche ? » qui interroge les limites de certaines expérimentations à haut risque, telles que les gains de fonctions pour la modification de virus en laboratoire, ou les techniques de géoingénierie. Christine Noiville, présidente du COMETS en détaille les ambitions et enjeux.
Alors qu’une large part de la France est placée en vigilance canicule ce mercredi 25 juin, se pose la question de l’influence du changement climatique sur le cycle de l’eau, entre modification du régime des pluies et augmentation de la fréquence des événements extrêmes (sécheresses et inondations). Qu’en est-il des eaux souterraines ? Ces dernières, logées dans les profondeurs du sous-sol, ne sont pas à l’abri de ces changements qui touchent en premier lieu l’atmosphère et la surface de la Terre.
Christophe Cassou, climatologue et auteur du GIEC dans le groupe 1, est invité sur le plateau de franceinfo suite à une étude qu'il a sorti et pour parler des vagues de chaleur actuelles. Il y explique l'évolution des températures globales et leurs conséquences. Ça fout les boules, mais qu'est-ce que ça motive.
Le climatologue Christophe Cassou et le maire de Bures-sur-Yvette Jean-François Vigier étaient les invités du "8h30 francenfo", vendredi 20 juin 2025.
Le seuil de 1,5 °C de réchauffement planétaire sera dépassé sur plusieurs années, alerte un consortium international de scientifiques. Problème : le budget carbone pour le limiter sera bientôt épuisé.
La hausse démarre ce mardi 10 juin en France, avec jusqu’à 38°C attendus dans les prochains jours. Bien qu’exceptionnelles, ces températures sont de plus en plus fréquentes, souligne auprès de «Libé» la climatologue Christine Berne.
Depuis 1990, l’océan a absorbé 26% des émissions anthropiques de CO2 et la biosphère 30%, le reste s’accumulant dans l’atmosphère. Sans l’action de ces puits, la croissance du stock de CO2 atmosphérique aurait été bien plus rapide. Pour que les baisses d’émissions conduisent à la neutralité carbone, il est crucial qu’océan et biosphère continuent de retirer le CO2 de l’atmosphère.
Bien que l’intelligence artificielle soit conçue pour alléger la charge des cliniciens, elle pourrait en réalité l’aggraver si les cadres de son utilisation ne sont pas mieux définis par les dirigeants du secteur de la santé, avertissent, dans une tribune au « Monde », trois professeurs américains.
La biodiversité est en mauvais état et est sévèrement menacée, ça, ce n’est pas une fake news. Une biodiversité en bon état, c’est la garantie d’une planète vivable et de territoires habitables pour les humains. Ça n’est pas une fake news. Ce qui n’est pas une fake news non plus, c’est que remettre en question les vérités scientifiques constitue une mise en danger de la démocratie. La vie en société et le contrat social ne peuvent tenir sans l’accord d’une «vérité partagée», une reconnaissance de ce qu’est la réalité.
Tant qu’elles ont été maintenues sous l’éteignoir colonial, les économies asiatiques n’ont guère contribué au réchauffement planétaire : en 1950, l’Asie contribuait à hauteur de 6% aux rejets mondiaux de CO2 d'origine fossile. Leur émergence a totalement changé la donne : en 2024, l’Asie compte pour 56 % des émissions mondiales de CO2 d’origine fossile (production de ciment incluse). La Chine et l’Inde pour respectivement 32% et 9%. De leurs décisions dépendra largement la possibilité, ou non, de passer le pic mondial des émissions durant la décennie 2020.
La comptabilisation des émissions de méthane pose de nombreuses questions méthodologiques que nous avons examinées avec Sophie Szopa (LSCE- auteure du GIEC) et Christian Couturier (Solagro) dans un article repris par la revue La Météorologie. À l’occasion du colloque Nouveaux regards sur l’élevage ruminant, des prairies aux assiettes, programmé le 14 mai, nous en republions ici l’introduction et la conclusion. Elles soulignent l’importance de maintenir et d’améliorer les méthodes en vigueur de comptabilisation des émissions pour correctement évaluer les impacts climatiques des élevages de ruminants et les bénéfices qu’apporte chaque réduction de leurs émissions de méthane.
Envisagée comme une cause majeure de la hausse des températures en 2023 et 2024, la diminution des particules libérées par les navires n’a pas joué un rôle crucial. Pour le climatologue Christophe Cassou, une étude récente clarifie ce débat.
IA et climat : un même renoncement. Ce discours de la fatalité rappelle la manière dont sont pris en compte aujourd’hui les enjeux du changement climatique et de ses conséquences dramatiques pour l’humanité. Les pouvoirs publics main dans la main avec les intérêts économiques capitalistes ne veulent plus réfléchir aux moyens de freiner le réchauffement global et l’effondrement du vivant (
No one knows when the next alert or request to save a chunk of US government-held climate data will come in. Such data, long available online, keeps getting taken down by US President Donald Trump's administration. For the last six months or so, Cathy Richards has been entrenched in the response. She works for one of several organisations bent on downloading and archiving public data before it disappears.
La presse a très récemment révélé la décision du Président Trump de suspendre les financements fédéraux de la plus prestigieuse Université américaine : Harvard. On parle de plus de 2,2 milliards de dollars qui seraient gelés ; d’autres menaces pèsent sur les dispositifs fiscaux dont l’Université américaine bénéficie. De nombreuses Agences fédérales de recherche ont également été l’objet de coupes sombres et des milliers de chercheurs, ont été licenciés sur le champ. Ces décisions ont, contestablement, pour ambition de museler ces Institutions productrices de savoir et, tout particulièrement, en limitant la liberté académique. Sans que nous n’en soyons là aujourd’hui en Belgique, force est de constater que l’inquiétude est grande dans le monde académique.
Les températures records observées à la surface de l’Atlantique Nord en 2023 ont fait couler beaucoup d’encre. Témoignent-elles réellement, comme on a alors pu le lire, d’un emballement du changement climatique ? Dans une récente étude, quatre chercheurs français répondent à cette question.
Alors que la science n’a sans doute jamais été aussi nécessaire pour éclairer nos choix collectifs, à l’âge du bouleversement climatique et de l’érosion de la biodiversité, sommes-nous face à un nouvel obscurantisme ? Pour analyser ce déni de la parole scientifique, Socialter a interrogé deux chercheurs, le climatologue Christophe Cassou, co-auteur en 2021 du 6e rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), engagé dans l’opposition à l’A69, et l’écologue Philippe Grandcolas, spécialiste de la biologie de l’évolution, fin connaisseur des travaux de l’IPBES (plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques) et des COP sur la biodiversité.
Seulement 2 % des produits alimentaires consommés en Île-de-France sont locaux. Une réalité qui interpelle quand on sait que la région est par ailleurs une terre agricole qui exporte par exemple ses céréales. Pourrait-on dès lors remédier à cette situation ?
Atteint de deux cancers liés aux pesticides, Christian Jouault est décédé jeudi 10 avril, à 70 ans. Cet ancien agriculteur était un pilier du collectif de soutien aux victimes de ces produits.
L’ancienne ministre de la justice occupe depuis l’automne 2024 une prestigieuse chaire universitaire au Brésil. Elle prépare activement la COP30, où elle défendra la préservation de la forêt amazonienne, en s’appuyant sur le travail des chercheurs qu’elle dirige.
In december is het tien jaar geleden dat het Klimaatakkoord van Parijs werd gesloten. Christiana Figueres stond toen aan het hoofd van het VN-Klimaatverdrag en mag dat historische moment mee op haar palmares zetten. De wereld is de afgelopen tien jaar drastisch veranderd en klimaatbeleid zit, ondanks de ontelbare alarmsignalen, in het slop, maar Figueres blijft geloven in de mogelijkheid om het tij te keren, als een morele plicht.
Le ministre de l'Energie du gouvernement Trump avait un message clair lundi à Houston, au Texas, où les énergéticiens sont rassemblés: il est temps de redonner la priorité à la production d'énergies fossiles plutôt qu'à la lutte contre le réchauffement climatique. S'exprimant en ouverture de la CERA Week, un événement professionnel majeur, Chris Wright a évoqué l'abandon de certaines normes ou les efforts du président américain pour promouvoir le gaz naturel liquéfié (GNL) comme exemples de changements par rapport à la présidence de Joe Biden, dont il s'est moqué.
Christophe Cassou, climatologue : "Les petits renoncements sont le terreau des grandes catastrophes"
(08/03) - France24,Des milliers de personnes se sont mobilisées partout dans le monde, en soutien aux scientifiques américains. C'est le mouvement Stand up for science. Les conséquences de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump ont été immédiates sur leurs recherches et font craindre le pire. Comment expliquer ce déni d'une certaine science ? C'est l'éclairage de notre invité, “Au coeur de l’info”, le climatologue Christophe Cassou. Il est aussi directeur de recherche du CNRS, co-auteur du dernier rapport du GIEC.
Conférence à l'Université HEIP de Lyon
Face au freinage des ambitions environnementales en France comme ailleurs en Europe, les scientifiques du climat s'interrogent sur la meilleure tactique pour rétablir leur place dans le débat public, quelques années après le pic de l'intérêt politique. "On a l'impression de vivre un délitement de tout ce qui était discuté pour arriver à des consensus. On le voit sur l'eau, la protection des sols, la biodiversité, le climat", énumère Christophe Cassou, physicien climatologue et directeur de recherche au CNRS qui se dit "désarçonné, en colère, décontenancé".
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