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Le président américain a savouré son triomphe après un échange d’otages et de détenus entre Israël et le Hamas. Sans lever toutes les zones d’ombre autour d’un plan de paix imposé au forceps.
La libération des 20 derniers otages israéliens retenus vivants à Gaza a donné lieu lundi à des scènes de liesse et un véritable soulagement. Trump s’est affiché en grand ordonnateur d’un nouveau Moyen-Orient pacifié, mais la suite des négociations en Egypte pourrait révéler les limites des méthodes brutales du président américain.
La première étape du plan de paix impulsé par Donald Trump doit encore être finalisée. Il faudra ensuite rebâtir une nouvelle autorité politique à Gaza et reconstruire, à peu près tout. À Gaza, les bombardements israéliens ont tout broyé. Des immeubles transformés en poussière, des hôpitaux éventrés, des routes effacées. Selon les estimations de l’ONU, plus de 60% des logements ont été détruits ou gravement endommagés.
Une vingtaine de pays se sont rangés derrière le président américain, soucieux de mettre en œuvre les étapes à venir de la reconstruction et de la gouvernance de la bande de Gaza, gage de paix durable.
S’il n’est accompagné par aucun effort diplomatique significatif, le succès incontestable obtenu le 13 octobre par Donald Trump, avec la libération des otages israéliens et l’arrêt des bombardements sur Gaza, ne sera qu’un retour à la situation qui prévalait à la veille du 7 octobre 2023.
L’armée israélienne a annoncé lundi matin que sept otages libérés par le Hamas avaient « franchi la frontière et regagné le territoire israélien ». Treize autres doivent être libérés en échange de deux mille prisonniers palestiniens, conformément à l’accord de paix conclu entre les parties.
Journée historique au Proche-Orient. Treize nouveaux otages ont été remis par le Hamas à la Croix-Rouge, dans le cadre du plan de paix pour Gaza. Plus tôt à l’aube, sept Israéliens avaient déjà été libérés, marquant la première étape de cet accord qui prévoit également la libération de prisonniers palestiniens par Israël. Le président américain Donald Trump, actuellement en escale en Israël pour s’entretenir avec Benyamin Netanyahou, rejoindra ensuite Charm el-Cheikh, où doit se tenir dans l’après-midi un sommet pour la paix.
Plus de deux ans après l’attaque terroriste du 7 Octobre, le Hamas a libéré ce lundi 13 octobre les 20 derniers otages vivants sur les 251 personnes enlevées. «Libé» dresse leurs profils.
Après deux ans de guerre, l’enclave palestinienne respire à nouveau, et les habitants reviennent dans leurs quartiers détruits. Un retour qui marque le début d’un long combat, celui de la reconstruction sur les ruines de leur passé.
Deux cent cinquante détenus de longue durée, la plupart condamnés à la perpétuité, sont sortis des prisons de l’Etat hébreu après que le mouvement islamiste a relâché les vingt otages israéliens encore vivants. Plus de 1 700 autres Palestiniens ont aussi été élargis.
Un rapport signé par 160 scientifiques, publié lundi, alerte sur la « crise sans précédent » rencontrée par les récifs coralliens d’eau chaude.
La première étape du plan de paix présenté par Donald Trump prévoit le retour en Israël des 48 personnes encore détenues par le Hamas, dont 20 sont toujours vivantes, en échange de l’élargissement de près de 2 000 prisonniers palestiniens.
L’humanité a trop déstabilisé le climat, au point de l’avoir rapproché de « points de bascule » au potentiel cataclysmique, alertent 160 scientifiques dans un nouveau rapport.
Unless global heating is reduced to 1.2C ‘as fast as possible’, warm water coral reefs will not remain ‘at any meaningful scale’, a report by 160 scientists from 23 countries warns
Les présidents égyptien Abdel Fattah al-Sissi et américain Donald Trump présideront lundi après-midi à Charm el-Cheikh un Sommet de la paix, en présence de dirigeants de plus de 20 pays, a annoncé samedi la présidence égyptienne dans un communiqué.
Le ministre de la Défense israélien, Israël Katz, a annoncé dimanche que l'armée israélienne allait détruire, après la libération des otages retenus dans la bande de Gaza, tous les tunnels du Hamas dans le territoire palestinien.
Une grande partie des lieux classés au Patrimoine mondial de l’Unesco voient leurs perspectives de conservation se dégrader, selon une évaluation publiée à l’occasion du congrès mondial de l’Union internationale pour la conservation de la nature.
Le politiste palestinien Yezid Sayigh décrypte, dans un entretien au « Monde », les atouts et les failles de la feuille de route américaine, approuvée par l’Etat hébreu et le Hamas, qui a débouché sur l’instauration d’un nouveau cessez-le-feu dans l’enclave côtière.
Changement climatique, pollution chimique, effondrement de la biodiversité… Les clés pour tout comprendre aux limites planétaires et aux critiques qu’elles rencontrent.
Un Œil sur demain : la bioélectricité végétale, l’énergie produite en suivant le rythme de la nature
(12/10) - Alexis GonzalezLes plantes pourront-elles nous aider à produire de l’électricité ? Une entreprise néerlandaise travaille sur ce sujet depuis une dizaine d’années. Elle a développé des petits capteurs qui permettent de générer énergie électrique et de récolter des données à partir de cette énergie. Une solution qui pourrait peut-être aider des régions reculées du monde à l’avenir.
Le plan de paix de Trump pour Gaza laisse peu de place aux Palestiniens pour déterminer leur avenir, rappelle le politiste dans une tribune au « Monde ». La « déclaration de New York », portée par la France, suit une autre logique et entend redonner un horizon politique à la région sur la base de la solution à deux Etats.
Donald Trump a déclaré dimanche, à bord d'Air Force One, en partance pour Israël et l'Égypte où il est attendu lundi au "Sommet pour la paix", que la guerre à Gaza était "terminée".
Le désarmement du Hamas, prévu dans le cadre du plan du président américain Donald Trump visant à mettre fin à la guerre à Gaza, est "hors de question", a affirmé samedi un responsable du mouvement islamiste palestinien à l'AFP. "La remise des armes proposée est hors de question et n'est pas négociable", a affirmé ce responsable sous couvert d'anonymat.
La Turquie pourrait jouer un rôle majeur dans la force de stabilisation qui permettra de désarmer le mouvement palestinien, tandis que la France a réuni, à Paris, une conférence sur le « jour d’après ».
L’extrême droite rejette l’accord, qui prévoit la libération de 2 000 prisonniers palestiniens, mais ne souhaite pas, à ce stade, quitter la coalition.
Le président américain a affirmé que l’Etat hébreu allait retirer ses troupes le long d’une ligne négociée. La libération des 20 otages détenus dans l’enclave estimés encore vivants devrait intervenir d’ici à lundi 13 octobre.
Donald Trump et les médiateurs des pourparlers indirects entre Israël et le Hamas en Egypte ont annoncé qu’Israël et le Hamas étaient parvenus à un accord sur un échange d’otages et de prisonniers et sur l’arrivée d’aide humanitaire dans l’enclave palestinienne.
Tandis que la première phase du plan américain de paix a été enclenchée, le chef de la diplomatie israélienne, Gideon Saar, a fustigé la réunion qui doit se tenir à Paris, jeudi, entre plusieurs pays européens et arabo-musulmans, afin d’examiner les modalités de la stabilisation de la bande de Gaza après la cessation des hostilités.
Une équipe spéciale menée par les pays médiateurs a été chargée ce jeudi 9 octobre de localiser les corps des otages israéliens à Gaza. Plus tôt ce matin, des membres du Hamas avaient fait état de difficultés pour restituer à temps les dépouilles.
L’accord validé ce jeudi 9 octobre relance les fractures internes du gouvernement israélien. Benyamin Nétanyahou est désormais coincé entre l’aile radicale qui crie à la trahison, et Washington qui impose son tempo.
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