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Juge mais aussi présentatrice de l’émission « Justice avec le juge Jeanine » de 2011 à 2022 et maintenant de l’émission « Five », elle a relayé régulièrement des théories complotistes.
Le président américain veut annuler un programme spécial institué sous Joe Biden autorisant les ressortissants de quatre pays – Venezuela, Cuba, Nicaragua et Haïti – à résider aux Etats-Unis en raison de la situation des droits humains dans ces Etats.
Créé en 1980, ce fichier permettait de répertorier les événements climatiques extrêmes dépassant le milliard de dollars de dégâts. […] L’administration de Donald Trump va cesser d’alimenter la base de données de référence recensant les coûteuses catastrophes climatiques, selon une annonce faite jeudi 8 mai. Il s’agit d’une nouvelle conséquence des importantes réductions de financement de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).
Ce changement, qui survient à la veille de l'audition au Sénat qui devait approuver son ancienne favorite Janette Nesheiwat à ce poste, soulève notamment des questions quant à la possible intervention d'une influenceuse complotiste. Laura Loomer, figure de l'extrême droite américaine, avait déjà fait parler d'elle début avril en obtenant le limogeage du chef de l'agence du renseignement américain, dont elle réclamait la tête auprès du président républicain.
La Californie et 16 autres Etats américains ont poursuivi l'administration Trump en justice mercredi, lui reprochant de bloquer illégalement cinq milliards de dollars destinés à la construction de stations de recharges pour véhicules électriques.
Le climat n'est pas épargné par le second mandat du président américain, qui se montre encore plus agressif que lors de sa première à la Maison-Blanche.
L’établissement new-yorkais a perdu 400 millions de dollars de subventions, dont 250 millions pour la santé. Il tente de se réformer pour récupérer ces financements coupés par l’administration Trump, qui mène une offensive contre des institutions d’enseignement jugées trop progressistes.
Lundi, une coalition de dix-sept États américains a lancé des poursuites en justice contre l’administration Trump pour bloquer l’arrêt des projets d’énergie éolienne, décidé par le président. L’interruption menace «des milliers d’emplois», freine la production d’énergie et retarde la sortie des combustibles fossiles, selon les procureurs généraux des États.
Plusieurs journaux américains ont reçu un courrier inquisiteur du procureur fédéral du district de Columbia, leur reprochant d’être partisans dans le débat scientifique. Deux revues financées par des fonds fédéraux ont, elles, suspendu la réception des manuscrits.
Conseiller à la sécurité nationale des Etats-Unis entre 2018 et 2019, avant de rompre avec Donald Trump, John Bolton dénonce, dans une tribune au « Monde », la désinvolture du président américain en matière de politique étrangère. Pour autant, l’Europe ne doit pas d’ores et déjà envisager un monde post-américain.
La secrétaire à l’éducation invite, dans une lettre, le président de la prestigieuse université américaine à collecter « des fonds auprès de son important vivier d’anciens élèves aisés ». L’institution a refusé de se plier aux exigences de Donald Trump en matière de sélection des étudiants ou de recrutements des enseignants.
L’attaque du président américain contre les universités était planifiée et donc prévisible, explique à «Libération» la chercheuse Anaïs Le Fèvre-Berthelot.
Le président américain Donald Trump a annoncé dimanche "entamer immédiatement le processus d’instauration de droits de douane de 100%" sur les films diffusés aux Etats-Unis mais produits à l’étranger.
Aux côtés de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, le président français a détaillé ce lundi 5 mai le plan Choose Europe for Science. L’UE va investir 500 millions d’euros dans les deux ans à venir.
Le budget proposé par la Maison Blanche entend réduire de 53 % les dépenses scientifiques de l’agence et remplacer le lanceur SLS et la capsule Orion par des alternatives du secteur privé après le retour des Américains sur la Lune, programmé pour 2027.
La principale agence américaine de renseignement extérieur, la CIA, va supprimer 1.200 postes, rapporte le Washington Post vendredi, au moment où la Maison Blanche a dévoilé un projet de budget d'austérité.
Jeudi, le ministère américain de la justice a porté plainte contre les États fédérés de Hawaï, du Michigan, de New York et du Vermont, qui souhaitent faire payer aux entreprises de combustibles fossiles les conséquences de la crise climatique sur leur territoire.
Le ministre de la Santé de Donald Trump, ancien antivax, a donné son opinion sur le vaccin contre la rougeole. Et sans surprise, Robert Kennedy s'est montré très critique. Il a par ailleurs affirmé que ce vaccin contenait "de nombreux débris de fœtus et des particules d'ADN" et que c'est pour cela que certaines communautés religieuses du pays étaient contre la vaccination. […] Une information complètement fausse et qui représente un danger alors que les cas de rougeole, qui avaient pourtant été éradiqués aux États-Unis, augmentent avec une forte virulence. En 2024, 285 cas ont été recensés, contre 884 pour ce début d'année 2025.
La Maison Blanche a dévoilé, vendredi 2 mai, la première ébauche de budget du second mandat de Donald Trump, un projet qui taille dans les programmes allant à l’encontre de ses idées ultraconservatrices, en n’épargnant que les dépenses militaires et sécuritaires.
Le président américain mène depuis sa prise du pouvoir une politique très agressive contre les flux migratoires. L’affrontement avec les juges sur les expulsions extra-judiciaires masque le bouleversement survenu dans la politique migratoire des Etats-Unis. En cent jours, Donald Trump a pris 140 décrets sur l’immigration, selon la Maison Blanche. Le Migration Policy Centre, un institut d’études indépendant, compte 175 décrets et mesures sur la question, soit six fois plus que pendant la même période de son premier mandat.
Donald Trump a signé jeudi un décret demandant au gestionnaire de l'investissement fédéral dans l'audiovisuel public (CPB) de cesser de financer deux médias publics américains, la télévision PBS et la radio NPR, qu'il accuse d'être biaisés.
Des rassemblements ont eu lieu dans plusieurs villes du pays pour protester contre la politique menée par le président américain.
Dans un entretien au « Monde », le professeur de philosophie américain explique pourquoi il a décidé de s’exiler au Canada. Il justifie ce départ par les assauts de l’administration Trump contre les campus américains, même si son université a été jusqu’ici relativement épargnée. Jason Stanley est professeur de philosophie, spécialisé dans les pratiques et le langage des régimes autoritaires. Il a décidé de quitter Yale et de rejoindre la Munk School of Global Affairs and Public Policy de l’université de Toronto, au Canada.
La surprise est restée en travers de la gorge des diplomates. Début avril, Donald Trump a pris tout le monde de court en annonçant la reprise de négociations entre Téhéran et Washington en vue d’un nouvel accord sur le nucléaire iranien, sept ans après avoir dénoncé le compromis précédent, lors de son premier mandat. Sur ce dossier, une quatrième rencontre était prévue à Rome, samedi 3 mai - avant d’être reportée mercredi - mais personne ne comprend, dans les capitales européennes comme à Téhéran, où veulent en venir les Etats-Unis. Ni quelle est vraiment l’équipe qui doit mener les pourparlers, en dehors de l’incontournable envoyé spécial du président américain, Steve Witkoff, un novice en diplomatie.
Dans son classement annuel par pays publié vendredi, RSF place les Etats-Unis en 57ᵉ position, en perte de deux places. L’administration Trump « a politisé les institutions, réduit le soutien aux médias indépendants et marginalisé les journalistes », soumis à une « hostilité croissante », relève l’ONG.
En cent jours, l’administration du milliardaire républicain a particulièrement ciblé les scientifiques et agences travaillant sur le climat. Une attaque contre la production de connaissances, mais aussi contre la sortie des énergies fossiles.
Gel des aides de l’Usaid, imposition de taxes douanières au-delà de toute mesure, déclarations cyniques, voire cruelles… Les trois mois au pouvoir du milliardaire républicain marquent un désintérêt profond pour les pays les plus pauvres.
Professeure de littérature à l’université de Stanford (États-Unis) et chercheuse associée au Centre de recherches politiques de Sciences Po Paris, Cécile Alduy revient pour Vert sur le quotidien des campus américains, régulièrement ciblés par les menaces de Donald Trump.
Avec près de 200 directives signées lors de ses cent premiers jours à la Maison Blanche, le dirigeant républicain exerce son pouvoir exécutif de manière solitaire. - […] Jamais un président des États-Unis n’avait autant signé de directives au cours de ses cent premiers jours au pouvoir. Depuis son retour dans le bureau Ovale, le 20 janvier, Donald Trump a paraphé 197 textes exécutifs (dont une majorité de décrets, mais aussi des mémorandums et des proclamations).
L'ancienne vice-présidente américaine Kamala Harris a dénoncé mercredi un exercice "égoïste" du pouvoir par Donald Trump, dans son premier discours majeur après sa défaite à l'élection présidentielle de novembre.
Le coup est rude pour Addis-Abeba. Le 22 avril, le Programme alimentaire mondial (PAM) a annoncé la suspension de son aide dès le mois de mai à 650 000 femmes et enfants souffrant de malnutrition en Ethiopie. L’aide alimentaire destinée à un million de réfugiés cessera elle aussi en juin « si aucun financement supplémentaire n’est reçu », a alerté l’agence onusienne.
De la société civile aux entreprises, en passant par les Etats ou les villes, la résistance s'organise face aux attaques de Donald Trump sur le climat ou les droits humains. Une résistance de l'ombre mais toujours plus active pour contrer la dérive autoritariste du président américain.
Instauré dès le premier jour de la présidence de Donald Trump, le DOGE, confié à Elon Musk, visait à réaliser 2 000 milliards de dollars d’économie. Cent jours plus tard, il est loin d’avoir accompli cet objectif. Mais pour le camp Trump, DOGE reste un succès idéologique majeur de ce début de mandat.
Malgré des sondages en berne, le président américain s’est livré à un long autosatisfecit devant ses partisans d’un début de mandat le «plus réussi» de l’histoire.
Le président américain a tenu un meeting, mardi, près de Detroit dans le Michigan. Dans la salle, ses partisans les plus farouches le soutiennent malgré les incertitudes économiques : « Ça s’appelle la foi. »
Quel bilan économique tirer des 100 premiers jours du second mandat de Donald Trump ? André Sapir fait le point.
À l’occasion des cent jours du second mandat de Donald Trump, la rédaction des Observateurs de France 24 s’est associée avec la RTBF et France Info pour analyser le discours d’Elon Musk, l’un des plus proches conseillers du président américain sur la période. Notre enquête, réalisée dans le cadre de l’Association des Médias Francophones Publics, est une plongée en deux volets dans les tweets du propriétaire de la plateforme X : elle documente comment le milliardaire, devenu un relais actif de l'administration américaine à l'international, diffuse une idéologie hostile à l’Ukraine et favorable à l’extrême droite européenne.
La guerre commerciale agressive lancée par le président américain risque de déclencher de l’inflation, des pénuries de biens, et de plonger le pays dans la récession.
Devant ses partisans réunis dans le Michigan, le président américain a défendu son offensive protectionniste, promettant un nouvel « âge d’or », en dépit des inquiétudes alimentées par sa politique économique.
Depuis de nombreuses années, les Etats-Unis sont à la pointe de la recherche, avec des bases de données considérées comme de véritables mines d’or pour les chercheurs du monde entier. En tant qu’étranger, poursuivre ses recherches dans le pays de l’oncle Sam est normalement un graal et une belle carte de visite pour la suite de sa carrière en tant que chercheur.
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