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Décès dus aux vagues de chaleur ou à la pollution de l'air, expansion des maladies infectieuses à vecteur, zones de sécheresse… Les chercheurs du "Lancet Countdown" alertent sur les menaces sanitaires dues au changement climatique. Treize des 20 indicateurs de suivi ont atteint "des niveaux sans précédent" pour cette édition qui paraît ce mercredi.
Dengue, paludisme ou encore virus du Nil occidental : la hausse des températures et l'évolution des pluies liées aux dérèglements climatiques influencent la transmission des maladies infectieuses au départ tropicales, alerte le Lancet Countdown.
Les experts du Lancet Countdown estiment que le nombre de morts liées à la chaleur dans le monde a augmenté de 23 % depuis les années 1990, en majorité en raison du changement climatique.
Le Lancet Countdown, rapport publié chaque année par une centaine de chercheurs internationaux, propose pour la première fois, mercredi, des estimations précises de la mortalité liée aux conséquences du réchauffement climatique comme les vagues de chaleur, les feux de forêt ou encore la pollution aérienne. Le bilan se compte en millions de morts.
Le temps presse. A une dizaine de jours de la grande conférence de l'ONU sur le climat à Belem, au Brésil, l'Union européenne espère encore obtenir un feu vert de ses Etats membres sur sa trajectoire climatique en 2035 et 2040. Une réunion décisive est prévue mardi prochain entre les ministres de l'Environnement des 27.
A l'approche de la 30e conférence de l'Onu sur le changement climatique (COP30) prévue en novembre à Belém, l'ONG Oxfam a rappelé mercredi dans une nouvelle étude l'empreinte carbone démesurée que possèdent nombre d'ultra-riches dans le monde et appelé à les taxer en conséquence.
Les effets du réchauffement climatique sur la santé continuent de s'aggraver dans le monde, avec des millions de morts à la clé, prévient mercredi un rapport annuel publié par la revue médicale The Lancet.
Une étude d’Oxfam sur les ultrariches montre qu’ils devront réduire leurs émissions de... 99 % d’ici 2030 si nous voulons rester dans les clous de l’Accord de Paris. Ils nous embarquent vers une « destruction planétaire ».
Invisible à l’œil nu mais indispensable à la vie sur Terre, Prochlorococcus règne silencieusement sur nos océans depuis des millions d’années. Cette cyanobactérie marine, plus petite qu’un virus mais plus puissante qu’une centrale électrique biologique, vient pourtant de révéler sa talon d’Achille dans une étude qui bouleverse nos certitudes sur l’avenir des écosystèmes marins. La découverte est troublante : l’organisme qui produit un tiers de l’oxygène que nous respirons pourrait être beaucoup plus fragile face au réchauffement climatique qu’on ne l’imaginait.
Alors que les citoyens du monde entier s’efforcent de réduire leur empreinte carbone, qu’ils renoncent à la voiture, limitent leur consommation de viande et investissent dans des panneaux solaires, un rapport publié lundi par plusieurs ONG révèle une réalité glaçante : depuis 2021, vingt-huit méga-projets d’extraction d’énergies fossiles ont été lancés dans le monde. Chacun d’eux générera plus d’un milliard de tonnes de CO2. Bienvenue dans l’ère des bombes carbone.
La mort de dix personnes tuées par des ursidés cette année a poussé les autorités nippones à réclamer l’aide de l’armée. Le manque de nourriture, attribué au réchauffement climatique, expliquerait l’arrivée des ours en ville.
Les plans climat de 98 pays déjà soumis ou annoncés avant la COP 30 devraient induire pour la première fois une baisse mondiale des émissions de gaz à effet de serre dans les dix prochaines années.
Le dépassement de l’objectif de Paris est devenu inéluctable d’ici la fin de la décennie. A la veille de la COP 30 au Brésil début novembre, l’ONU et des climatologues s’y résignent mais militent pour que ce soit temporaire.
La Cour européenne des droits de l'homme a statué mardi en faveur du gouvernement norvégien dans le cadre d'un procès intenté par des militants pour le climat. Ils affirmaient que la politique du pays en matière d'exploration pétrolière dans la mer de Barents en Arctique mettait leur avenir en danger.
Par leur mode de vie ostentatoire et leurs investissements polluants, les plus riches ont un impact démesuré sur le climat, alerte l’ONG Oxfam dans son dernier rapport sur les inégalités climatiques, publié ce mercredi.
Le milliardaire et philanthrope américain Bill Gates, dénonçant "la vision catastrophiste" de certains à propos du changement climatique, appelle à ce que la COP30 au Brésil recentre le débat sur "l'amélioration des conditions de vie", plutôt que sur les températures ou les émissions. Le réchauffement de la planète "ne va pas conduire à la disparition de l'humanité", écrit le cofondateur de Microsoft dans un long texte publié sur son site internet lundi soir, quelques jours avant l'ouverture de la 30e conférence des Nations unies sur le climat. Si le changement climatique aura "de graves conséquences, (...) les populations pourront vivre et prospérer sur la plus grande partie de la planète dans un avenir proche", écrit Bill Gates, dont la fortune s'élève selon Forbes à plus de 100 milliards de dollars.
Exclusive: ‘Devastating consequences’ now inevitable but emissions cuts still vital, says António Guterres in sole interview before Cop30
Des données inédites révèlent que des projets d’exploitation déjà planifiés à travers la planète sont susceptibles de rejeter à eux seuls des quantités de CO₂ largement supérieures au budget carbone restant à l’humanité pour limiter le réchauffement global à 1,5 °C.
Vingt-huit projets d'extraction de pétrole, gaz ou charbon de grande ampleur sont entrés en exploitation depuis 2021 malgré leur catastrophique impact à venir sur le climat, selon des données publiées lundi par plusieurs ONG. Les "bombes carbone" ont été définies en 2022 dans un article de recherche comme des projets d'énergies fossiles capables de générer chacun plus d'un milliard de tonnes de CO2 sur leur durée de vie. Les auteurs en dénombraient alors 425 dans le monde. Les organisations autrices du nouveau décompte (Lingo, Data for Good, Reclaim Finance, Eclaircies) estiment que 28 projets de ce type ont démarré entre 2021 et 2025, et 12 ont été annulés. Leur décompte total est de 601, dont 365 projets dont les émissions sont encore évaluées à plus d'1 milliard de tonnes. La différence est due aux projets ayant été consommés ou réévalués. Leur analyse se fonde sur des bases de données des secteurs énergétiques et financiers.
À deux semaines de la conférence mondiale sur le climat au Brésil, un consortium d’ONG publie de nouvelles données sur les «bombes carbone», ces projets d’extraction fossile qui pourraient générer des quantités faramineuses de CO2 sur l'ensemble de leur durée de vie. Pétrole, gaz, charbon : les associations ont recensé 601 mégaprojets.
Vingt-huit projets d'extraction de pétrole, gaz ou charbon de grande ampleur sont entrés en exploitation depuis 2021 malgré leur catastrophique impact à venir sur le climat, selon des données publiées lundi par plusieurs ONG. Les "bombes carbone" ont été définies en 2022 dans un article de recherche comme des projets d'énergies fossiles capables de générer chacun plus d'un milliard de tonnes de CO2 sur leur durée de vie. Les auteurs en dénombraient alors 425 dans le monde.
Avec des vents dépassant les 300 km/h, Melissa est l'un des ouragans les plus puissants jamais observés dans les Caraïbes. Les experts craignent des dégâts catastrophiques et soulignent le rôle du réchauffement climatique dans l'intensification de ces phénomènes.
Les nouveaux projets miniers, pétroliers et gaziers risquent d’émettre 11 fois plus de carbone que la limite à ne pas dépasser pour maintenir le réchauffement à 1,5 °C, selon les données compilées par quatre associations.
Le monde compte désormais 600 bombes carbone et plus de 2 300 projets fossiles, selon l'actualisation de la carte carbonbombs publiée ce lundi 27 octobre par quatre associations, dont Data for Good et Reclaim Finance. Une tendance à la hausse alors que le scénario 1,5°C de l'Accord de Paris impose la fin de tout nouveau projet fossile depuis 2021.
Le Premier ministre, Bart De Wever, ne fera pas le voyage jusqu'à Belém, au Brésil, où aura lieu les 6 et 7 novembre prochains le sommet dédié au climat qui servira de prélude à la COP30, elle-même prévue du 10 au 21 novembre. Ce sera la première fois depuis 2018 et la COP24 de Katowice que la Belgique n'est pas représentée par son Premier ministre à la conférence de l'Onu sur le changement climatique.
TotalEnergies s’apprête à relancer une « bombe carbone ». Quatre ans après avoir suspendu un mégaprojet de gaz naturel liquéfié au Mozambique, le groupe français a annoncé samedi 25 octobre avoir levé l’état de « force majeure » pesant sur le chantier. Pour redémarrer, celui-ci ne doit plus qu’avoir le feu vert du gouvernement mozambicain.
Du 10 au 21 novembre, la communauté internationale se réunit à Belém, au Brésil, pour la COP 30. Alors qu'aucun sujet particulier n'a pour le moment été mis en avant par le président Luiz Inacio Lula da Silva, quels seront les grands enjeux qui agiteront cette nouvelle grand-messe climatique ? France 24 fait le point.
Dr Luke Kemp is a Research Associate at the Centre for the Study of Existential Risk, University of Cambridge. He has a PhD in international relations from the ANU and previous experience as a senior economist at Vivid Economics. This episode explores catastrophic and extinction risk, why the topic is understudied, and how we can weigh out the catastrophic risks of climate change and solar geo-engineering.
Selon une récente étude, les forêts tropicales d’Australie sont les premières au monde à ne plus pouvoir assurer leur rôle de puits de carbone. Evidemment, ce phénomène inquiétant est en étroit lien avec l’actuel dérèglement climatique. De plus, l’étude révèle que d’autres forêts tropicales pourraient subir le même sort à l’avenir.
L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
