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Le président américain a décidé, ce mercredi 6 août, de sanctionner les relations commerciales entre la Russie et l’Inde en ajoutant une nouvelle surtaxe au pays qu’il avait déjà récemment visé.
Le président américain Donald Trump a signé mercredi un décret ajoutant 25% de droits de douane sur les produits indiens, "en réponse à l'achat continu de pétrole russe", une source de revenus essentielle pour Moscou, a annoncé la Maison Blanche sur un de ses comptes X. Cette nouvelle surtaxe vient s'ajouter à celle de 25% qui doit entrer en vigueur jeudi, en même temps que les droits de douane que M. Trump présente comme "réciproques", et ne sera effective que dans 21 jours, selon le décret. Elle ne s'appliquera pas sur un certain nombre de produits, ce qui vient en réduire sensiblement la portée. Ces exemptions concernent cependant des produits visés par des droits de douane sectoriels spécifiques, comme l'acier ou l'aluminium, ou qui le seront prochainement, tels que les produits pharmaceutiques, importante industrie en Inde, ou les semiconducteurs.
Le Kremlin dénonce les menaces "illégitimes" de Trump de surtaxer les produits indiens
Donald Trump a accentué la pression sur le secteur pharmaceutique ce mardi 5 août en assurant que de nouvelles surtaxes pourraient être annoncées rapidement. Une décision qui risquerait d'affecter sérieusement l’économie européenne.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a déploré ce lundi 4 août des taxes douanières américaines «très punitives». L’Inde est également menacée par les taxes en raison des achats de pétrole russe.
Dans la soirée de jeudi 31 juillet, le président américain a annoncé que ces nouvelles mesures prendront finalement effet jeudi prochain.
Imaginez des serveurs informatiques fonctionnant à dix mètres sous la surface de l’océan, refroidis naturellement par l’eau de mer et alimentés par le vent. Ce qui ressemble à de la science-fiction devient réalité au large de Shanghai, où la Chine vient de lancer la construction du premier centre de données sous-marin commercial au monde.
Dans le cadre de l’accord commercial entre l’Union européenne et les Etats-Unis, l’Europe s’engage à procéder à des achats stratégiques outre-Atlantique d’une valeur de 750 milliards de dollars (environ 650 milliards d’euros), couvrant les carburants.
Le président a martelé, mercredi, que « la France continuera » à avoir « une position de fermeté et d’exigence » dans la suite des discussions commerciales avec l’administration Trump, qui peuvent permettre d’obtenir de « nouvelles exemptions ».
L'accord conclu entre Washington et Bruxelles prévoit que l'Union européenne achète pour 250 milliards de dollars par an d'énergies fossiles américaines sur 3 ans (soit 750 milliards de dollars au total), une promesse qui s'annonce difficile à tenir, voire qui est "irréaliste" selon des experts de l'énergie interrogés par l'AFP. En 2024, la facture totale des importations énergétiques de l'UE s'est élevée à 375 milliards d'euros, ou 435,5 milliards de dollars, ce qui signifie que l'Europe des 27 devrait désormais acheter aux États-Unis plus de la moitié de son énergie importée.
L'Union européenne s'est engagée à importer d'énormes quantités d'énergie américaine pour éviter une guerre commerciale avec Donald Trump. Des commandes de gaz naturel liquéfié, de pétrole ou de charbon qui pourraient mettre en péril les objectifs de décarbonation européens.
D'une dépendance à l'autre. A mesure que l'Union européenne se sèvre du gaz russe, elle ouvre grands ses portes (et ses ports) au GNL américain. En échange de droits de douane abaissés à 15%, Ursula von der Leyen a promis d'augmenter significativement les importations d'hydrocarbures américains. Un deal loin d'être gagnant pour la transition.
Le président américain conduit une stratégie de rupture marquée par la mise en œuvre de droits de douane spectaculaires, l’intensification du contrôle de l’immigration et la prolongation de politiques fiscales favorables aux plus aisés.
Selon leur pays, pour les constructeurs de voitures, l’accord sur les droits de douane, annoncé dimanche 27 juillet, n’a pas le même enjeu. Si les Allemands, qui exportent beaucoup sur le territoire américain, sont particulièrement vulnérables, la France devrait être épargnée.
Une grande partie des pesticides de synthèse sont des perturbateurs endocriniens. Ils en représentent l’immense majorité de notre exposition puisque l’on mange trois fois par jours, tous les jours de sa vie et même déjà au cours de la vie intra utérine pendant laquelle ils sont particulièrement toxiques.
Le deal conclu comprend l'achat de 750 milliards de dollars d'énergie américaine sur trois ans. Cette hausse des importations concerne notamment le gaz naturel liquéfié. Un signal environnemental et climatique catastrophique.
Le Réseau Action Climat est une fédération d’associations nationales et locales qui luttent contre les causes des changements climatiques de l’échelle internationale à l’échelle locale.
Le Premier ministre français François Bayrou a regretté lundi "un jour sombre" pour l'Europe qui "se résout à la soumission" en signant l'accord commercial annoncé dimanche entre l'Union européenne et les États-Unis.
Certains experts doutent de la capacité de l'Europe à acheter pour 250 milliards de dollars d'énergie américaine.
L’accord conclu entre Donald Trump et Ursula von der Leyen dimanche 27 juillet n’est pas accueilli de la même manière par tous les Etats européens. Et pour cause : les intérêts économiques des 27 membres de l’UE divergent.
En signant l’accord qui fixe à 15% les taxes sur les produits européens, l’UE semble s’être pliée aux règles du président américain. Peut-être pouvait-elle montrer plus de muscles face à un interlocuteur qui ne comprend que la force.
L’accord politique conclu dimanche entre Donald Trump et Ursula von der Leyen, doit encore être précisé par des négociations techniques. Mais l’essentiel est connu : l’Europe n’obtient rien et fait moins bien que le Royaume-Uni, ce qui souligne la faiblesse politique de ce géant commercial.
Sous le feu des critiques, Bruxelles a présenté lundi l'accord commercial avec les États-Unis de Donald Trump comme le "meilleur" compromis possible dans un contexte "très difficile". Il doit encore être précisé dans une déclaration commune des deux partenaires attendue d'ici au 1er août. Voici ce que l'on sait à ce stade: Que prévoit l'accord?
Dans le cadre de l'accord sur les droits de douane obtenu ce dimanche, l’Union européenne et les États-Unis ont annoncé un accord de principe pour l’achat de 750 milliards de dollars d’énergie américaine sur les trois prochaines années. Derrière cette annonce spectaculaire se dessine un projet stratégique de réorientation énergétique, destiné à réduire la dépendance à la Russie. Mais cet accord est encore très flou, comme le fait remarquer l’économiste Sophie Meritet, spécialiste de l’énergie.
Le président américain et la présidente de la Commission européenne sont parvenus, dimanche 27 juillet en Écosse, à un accord prévoyant que les produits européens exportés vers les États-Unis seraient taxés à 15 %. Un “deal” qui “limite la casse”, souligne la presse européenne, laquelle estime cependant que Bruxelles s’est résigné face à Washington.
Donald Trump et Ursula von der Leyen concluent un accord commercial entre lUE et les États-Unis en Ecosse. Donald Trump a annoncé des droits de douane à 15 %.
Le département américain du Commerce a annoncé lundi avoir lancé des procédures qui pourraient conduire dans quelques mois à la mise en place de droits de douane sectoriels sur les drones et des éléments nécessaires à la fabrication de panneaux solaires.
Le président américain menace d’ajuster à tout moment les nouvelles surtaxes sur les produits canadiens, conditionnant leur niveau à l’évolution des relations entre Washington et Ottawa.
Le leader mondial des ustensiles de cuisine, qui a obtenu une dérogation à l’interdiction des PFAS dans ses produits et promeut l’« innocuité » de son revêtement antiadhésif, est poursuivi par trois associations.
Des associations ont porté plainte contre Tefal (SEB), et accusent le groupe d’induire les consommateurs en erreur en affirmant que ses poêles en Téflon sont «sûres». On vous explique.
Le président américain a précisé ce mardi 8 juillet les droits de douane supplémentaire qu’il pourrait appliquer aux médicaments, d’ici à un an, et qu’il compte aussi cibler le cuivre. Les cours du métal ont aussitôt bondi.
La rapporteuse spéciale des Nations unies (ONU) sur les territoires palestiniens occupés, Francesca Albanese, appelle jeudi les pays à couper leurs relations commerciales avec Israël. Elle avance que l’État hébreu est responsable d’un "des génocides les plus cruels" de l’histoire moderne et appelle à un embargo sur les armes.
Washington menace d’imposer de nouveaux droits de douane au Canada, alors que la taxe mise en place par Ottawa sur les services numériques doit commencer à être collectée le 30 juin.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a remercié dimanche le président américain Donald Trump pour l'attaque "audacieuse" des Etats-Unis contre des sites nucléaires iraniens, estimant qu'elle créait un "tournant historique" susceptible de mener le Moyen-Orient à la paix.
(Yorktown Heights) IBM a présenté mardi de nouvelles avancées techniques qui doivent lui permettre de mettre au point, d’ici 2029, le premier ordinateur quantique commercial, machine à la puissance de calcul inédite utilisable pour des applications concrètes.
L’énième mesure protectionniste du président américain est entrée en vigueur ce mercredi 4 juin, quelques heures avant des négociations à Paris entre les Etats-Unis et plusieurs partenaires commerciaux, notamment européens.
Selon l’étude annuelle «World Wealth Report» de Capgemini, la fortune des plus aisés a dépassé les 90 000 milliards de dollars en 2024. Un record depuis 1997 et la première publication de ce rapport annuel.
En visite dans une aciérie du géant de la métallurgie US Steel en Pennsylvanie, le président américain a dit vouloir « davantage protéger l’industrie de l’acier aux Etats-Unis ». La mesure entrera en vigueur le 4 juin.
En bloquant les droits de douane imposés par Donald Trump, les juges fédéraux ont estimé que la lettre et l’esprit de la loi avaient été violés. Il y a urgence à rappeler que, dans une démocratie, le pouvoir exécutif n’est pas sans limites.
Un recours pour « pratiques commerciales trompeuses » avait été déposé, en 2022, par trois ONG contre le géant pétrolier, devant le tribunal judiciaire de Paris. Celles-ci l’accusent d’avoir trompé les consommateurs, en particulier dans sa communication sur son ambition d’atteindre la neutralité carbone en 2050. L’audience se tiendra le 5 juin.
Alors que des négociations sont en cours sur les tarifs entre les Etats-Unis et l’Union européenne, le président américain a agité une nouvelle hausse ce vendredi 23 mai.
Après que Donald Trump a menacé ce vendredi 23 mai d’imposer 50 % de droits de douane aux produits issus de l’Union européenne à compter du 1er juin, les dirigeants européens appellent à la désescalade.
Katsunobu Kato a osé dire tout haut ce que tout le monde murmure tout bas. Lors d’un entretien à TV Tokyo, vendredi 2 mai, le ministre des finances japonais a reconnu qu’il pourrait utiliser la dette américaine détenue par le Japon comme une arme de négociation contre Donald Trump. « C’est une carte qui existe, mais la décision de l’utiliser ou non est autre chose. » La déclaration a fait sursauter les milieux financiers. Voilà le meilleur allié asiatique des Etats-Unis qui menace d’utiliser une arme redoutable contre les Etats-Unis.
Même si les limites maximales permises ne sont pas dépassées, les scientifiques craignent les effets cumulatifs de ces polluants sur la santé humaine.
Jon Voight a conseillé Trump au sujet des droits de douane dans le secteur du cinéma.
La Commission européenne a proposé jeudi des mesures de rétorsion contre des importations américaines pour un montant pouvant atteindre 95 milliards d'euros, si les négociations avec Washington échouent à mettre fin à une série de droits de douane imposés par le président américain Donald Trump.
Dans le détail, Donald Trump a assuré que le Royaume-Uni allait s'ouvrir davantage aux produits américains, pour "plusieurs milliards de dollars", "en particulier pour le boeuf américain, l'éthanol et quasiment tous les produits que produisent nos chers agriculteurs". Le président américain a aussi précisé que la taxe plancher de 10 % annoncée le 2 avril sur toutes les marchandises importées aux États-Unis resterait en place, jugeant qu'il s'agissant d'un taux "bas".
L’accord sur les droits de douane annoncé par Donald Trump avec le Royaume-Uni réjouit le Premier ministre britannique, mais la guerre commerciale déclarée par Washington au reste du monde n’est pas éteinte pour autant.
Le président américain affirme que « l’industrie cinématographique américaine est en train de mourir très rapidement », fustigeant les « incitations » offertes par « d’autres pays » pour « attirer nos cinéastes et nos studios ».
Le président américain Donald Trump a annoncé dimanche "entamer immédiatement le processus d’instauration de droits de douane de 100%" sur les films diffusés aux Etats-Unis mais produits à l’étranger.
L'administration Trump prévoit d'imposer 3.521% de droits de douane -- soit des taxes correspondant à plus de 35 fois le prix -- à des entreprises chinoises basées au Cambodge, et jusqu'à 375% pour un concurrent installé en Thaïlande. Les panneaux solaires et cellules provenant de Malaisie se verraient imposer un taux d'environ 40%. Mais selon un expert, cette offensive pourrait faire bouger les lignes en Asie du Sud-Est. "Les droits de douane et la guerre commerciale devraient accélérer la transition énergétique en Asie du Sud-Est", explique Ben McCarron, directeur du cabinet de conseil Asie Research & Engagement, basé à Singapour. La Chine "redoublera d'efforts" sur les marchés régionaux, en faveur de politiques qui puissent "permettre l'adoption rapide d'énergies vertes dans la région", sous l'impulsion de ses exportateurs, poursuit-il. Les analystes préviennent de longue date que les pays de la région n'avancent qu'à petits pas sur le sujet, restant attachés aux énergies fossiles, à l'heu
La guerre commerciale agressive lancée par le président américain risque de déclencher de l’inflation, des pénuries de biens, et de plonger le pays dans la récession.
En cent jours au pouvoir, le président des Etats-Unis a profondément abîmé l’image de son pays, désormais plongé dans une guerre commerciale contre le reste du monde, incapable de peser sur les conflits en cours et en proie à la pagaille tant les institutions sont malmenées et le droit est piétiné.
Le gouvernement chinois a instauré un contrôle sur l’exportation de sept métaux stratégiques, sur lesquels Pékin dispose d’un quasi-monopole dans la chaîne d’approvisionnement.
En l’espace de quelques jours, l’administration Trump a proposé d’assouplir la définition du "mal" fait aux espèces en voie d’extinction pour octroyer plus facilement des permis de forage et a réautorisé la pêche commerciale dans un sanctuaire marin de l’océan Pacifique. Deux mesures perçues par les scientifiques et les associations environnementales comme une "attaque contre le patrimoine".
Créé par George W. Bush et étendu par Barack Obama, le sanctuaire abrite des récifs coralliens vierges et des espèces en danger.
Alors que l’extraction de ressources y était jusqu’ici interdite depuis 25 ans, le président américain a signé un décret jeudi 17 avril pour permettre à nouveau la pêche commerciale dans un écosystème au milieu du Pacifique, qui est l’un des plus vulnérables au monde.
France Chimie, le principal représentant du secteur, alerte ce mercredi 16 avril sur les conséquences sociales potentielles de la politique de droits de douane de Donald Trump et du dumping pratiqué par la Chine et les États-Unis.
Le président américain demanderait de choisir entre les États-Unis ou la Chine.- […] Nos confrères du Irish Times, nous apprennent l'existence d'un document qui met en évidence les attentes des États-Unis quant aux accords commerciaux avec la Chine. Washington voudrait couper les ponts avec Pékin.- […] Ce même document préciserait que tous les pays qui désireraient conclure un accord commercial avec Donald Trump, devront renoncer à la Chine. Cette information aurait été transmise à Dublin auprès de Simon Harris, vice-Premier ministre irlandais et à Howard Lutnick, secrétaire américain au Commerce dans le courant de la semaine dernière.
Les droits de douane historiques et massifs, décidés par l’administration Trump contre la Chine – 104 % ajoutés depuis le début de mandat en janvier – sont bien entrés en vigueur, de même que ceux annoncés le 2 avril contre une soixantaine de pays. Au même moment, une surtaxe allant de 11% à 50% s’est appliquée à 60 partenaires commerciaux des États-Unis - la plus monumentale vague de droits de douane à se jour.
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