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focusclimat point bascule

octobre 2024

If despair is the most unforgivable sin, then hope is surely the most abused virtue. That observation feels particularly apposite as we enter the Cop season, that time of United Nations megaconferences at the end of every year, when national leaders feel obliged to convince us the future will be better, despite growing evidence to the contrary.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi des villes comme New York et Madrid, situées à la même latitude, connaissent des climats si différents ? Une des raisons réside dans les courants océaniques, qui transportent la chaleur des tropiques jusqu’en Europe. Mais ces courants, connus sous le nom d’AMOC (Atlantic Meridional Overturning Circulation), ralentissent sous l’effet du changement climatique. Ce phénomène pourrait créer une situation paradoxale où, malgré le réchauffement global, l’Europe subirait un refroidissement – un scénario digne du film Le Jour d'après. Certains médias affirment que nous nous approchons dangereusement d'un point de bascule, où l'effondrement de ce courant deviendrait inévitable. Exagération médiatique ou menace réelle ? Pour éclaircir la question, j'ai l'honneur de recevoir Julie Deshayes, océanographe et directrice de recherche au CNRS, spécialisée sur ces dynamiques au laboratoire L'OCEAN. L’AMOC, un point de bascule imminent ? C’est le sujet de ce nouvel épisode d'Échange C
Tout réchauffement du climat, même temporaire, au-delà de 1,5°C, limite jugée la plus sûre par les scientifiques, entraînerait des "conséquences irréversibles" pour l’avenir de l’humanité, conclut une vaste étude publiée dans Nature. Dans une telle trajectoire, des "points de bascule" seraient atteints, comme le dégel du pergélisol et des tourbières, deux immenses réservoirs de carbone qui, s’ils disparaissaient, libéreraient d’énormes volumes de gaz à effet de serre qui réchaufferaient la planète.

août 2024

Les spécialistes du système terrestre et du climat commencent à s'inquiéter sérieusement. La planète change plus rapidement que prévu. Bien que nous ayons tiré la sonnette d'alarme pendant des années, nous constatons aujourd'hui que la planète se trouve en fait dans une situation où les risques sont sous-estimés. Des changements brutaux se produisent d'une manière qui dépasse largement les attentes réalistes de la science.
We're nearly halfway through the 2020s, dubbed the most decisive decade for action on climate change. Where exactly do things stand? Climate impact scholar Johan Rockström offers the most up-to-date scientific assessment of the state of the planet and explains what must be done to preserve Earth's resilience to human pressure.
L’Antarctique, continent le plus froid de la planète, connaît lui aussi une vague de chaleur pendant son hiver, d’une durée exceptionnellement longue, selon l’institut britannique spécialisé dans l’étude des régions polaires.

juillet 2024

La climatologue suisse Sonia Seneviratne remarque, dans un entretien au « Monde », une forme de banalisation face aux événements extrêmes. Elle redoute le franchissement de points de bascule aux conséquences imprévisibles.

juin 2024

La fonte des calottes glaciaires est probablement largement sous-estimée, affirme une étude publiée ce mardi 25 juin dans la revue Nature Geoscience. Car l’eau de mer s’infiltre sous les glaces terrestres, accélérant leur disparition.

avril 2024

Écosystèmes terrestres et marins, calottes glaciaires, biodiversité, cours d’eau, océan… Sur notre planète, tout est connecté. Mais d’après un rapport récent, les dynamiques de ces différents systèmes seraient déstabilisées par les activités humaines, et ce jusqu’à franchir des points de non-retour. Explications.

mars 2024

An international team of scientists has warned against relying on nature providing straightforward 'early warning' indicators of a climate disaster, as new mathematical modeling shows new fascinating aspects of the complexity of the dynamics of climate. It suggests that the climate system could be more unpredictable than previously thought.
Dans cette discussion, nous étudions les interactions entre glaciers, climat, et société. Les glaciers sont un des piliers centraux pour la régulation du climat. Mais à cause du réchauffement climatique nous sommes en train de les perdre, ce qui signe un enclenchement de points de bascule qui vont radicalement bouleverser nos sociétés. Heïdi Sevestre est docteure en glaciologie est membre international du Club des Explorateurs. Elle se rend régulièrement au pôle Nord pour des expéditions scientifiques.

mars 2024

Faute de solutions suffisamment innovantes pour lutter contre le réchauffement climatique et modifier nos modes de vie, des changements radicaux, voire irréversibles, se profilent à l'horizon. La menace qu'ils représentent pour les écosystèmes naturels plane aussi sur les systèmes alimentaires, les ressources en eau ainsi que les réseaux de transport et d'information. Un nouveau rapport définit six points de bascule « interconnectés » que nous sommes en voie d'atteindre.
Scientists now have a better understanding of the risks ahead and a new early warning signal to watch for.
Collapse in system of currents that helps regulate global climate would be at such speed that adaptation would be impossible

janvier 2024

Le seuil de 1.5°C a été choisi pour éviter une déstabilisation dangereuse du climat terrestre. Au-delà, des éléments de la biosphère pourraient changer à grande échelle. La mort d’une forêt tropicale émettrait du gaz carbonique qui augmenterait l’effet de serre, la fonte des glaces polaires ferait monter le niveau des mers. Le rapport GTP (global tipping points : points de bascule globaux), écrit par l’Université d’Exeter, notamment le professeur Lenton du GIEC, a tenté une synthèse des connaissances actuelles dans ce domaine pour la COP28.

décembre 2023

Effondrement de la banquise et des glaciers, dépérissement des coraux et de l’Amazonie... Dans une étude publiée mercredi, des chercheurs identifient et analysent 26 "points de bascule" climatiques. Des phénomènes qui, s'ils se produisaient, pourraient entraîner un effet d'emballement désastreux pour le climat et la vie humaine. Alors que les dirigeants du monde sont réunis à l'occasion de la COP28, les auteurs du texte alertent : cinq points de rupture pourraient être atteints.
La Terre toujours plus dans le rouge. Sur 26 points de bascule – ou "tipping points" - identifiés, cinq sont à la limite d’être franchis, et trois autres pourraient l’être très prochainement si les températures continuent d’augmenter, avertit une nouvelle étude publiée ce mercredi 5 décembre. Une alerte supplémentaire alors que les pays présents à la COP28 de Dubaï doivent statuer sur la sortie, ou non, des énergies fossiles, responsables du changement climatique.

novembre 2023

Zita Sebesvari, directeur adjoint de l’Institute for Environment and Human Security de l’université des Nations unies, nous met en garde. « Nous approchons de bord de la falaise et une fois que...

octobre 2023

Le concept de point de basculement climatique est régulièrement utilisé par les scientifiques: l’effondrement de la calotte glaciaire du Groenland, ou de la forêt amazonienne, en sont des exemples.

septembre 2023

Take part in the new scientific discussion about looming abrupt changes in the Earth system. This new webinar series invites scientists interested in tipping elements and the broader public to attend.

juin 2023

Amazon rainforest and other ecosystems could collapse ‘very soon’, researchers warn
Près de 50 chercheurs ont identifié les limites à ne pas franchir pour assurer la "résilience du système terrestre". Toutes sont déjà dépassées sauf une.

mai 2023

Des propositions sont envoyées aux présidents pour qu'ils se rencontrent au sommet amazonien Les propositions pour sauver l'Amazonie du point de non-retour et d'autres menaces ont été rédigées par FOSPA, REPAM et AMA, en collaboration avec des organisations...

mars 2023

Selon une étude, la calotte glaciaire du Groenland est arrivée à la moitié d'un point de basculement qui pourrait provoquer la fonte de sa partie sud. Une disparition de l'inlandsis augmenterait de sept mètres le niveau des mers.

mars 2023

The Global Tipping Points Report was launched at COP28 on 6 December 2023. The report is an authoritative assessment of the risks and opportunities of both negative and positive tipping points in the Earth system and society. Global Tipping Points is led by Professor Tim Lenton from the University of Exeter’s Global Systems Institute with the support of more than 200 researchers from over 90 organisations in 26 countries.

janvier 2023

Si l'Amazonie basculait de forêt tropicale à savane, elle entraînerait dans sa chute d'autres points de bascule. Un véritable effet domino.
Three “super-tipping points” for climate action could trigger a cascade of decarbonisation across the global economy, according to a report. Relatively small policy interventions on electric cars, plant-based alternatives to meat and green fertilisers would lead to unstoppable growth in those sectors, the experts said. But the boost this would give to battery and hydrogen production would mean crucial knock-on benefits for other sectors including energy storage and aviation.

novembre 2022

Des glaciers classés au patrimoine mondial de l’Unesco vont disparaître en cascade, alerte l’institution dans une étude. L’océanographe Julie Deshayes détaille les conséquences de ces fontes.

octobre 2022

Le rythme actuel de réchauffement pourrait déclencher plusieurs « points de bascule » planétaires : des changements abrupts et irréversibles du système climatique. Les chercheurs Aurélien Boutaud et Natacha Gondran nous expliquent pourquoi.
A recent paper suggested damaging climate tipping points could be closer than first thought.

septembre 2022

Governments and businesses failing to change fast enough, says United in Science report, as weather gets increasingly extreme. Despite intensifying warnings in recent years, governments and businesses have not been changing fast enough, according to the United in Science report published on Tuesday. The consequences are already being seen in increasingly extreme weather around the world, and we are in danger of provoking “tipping points” in the climate system that will mean more rapid and in some cases irreversible shifts.
Le rapport United in Science fait le point sur les gaz à effet de serre, les températures mondiales, les prévisions climatiques et les points de bascule, le changement climatique dans les villes, l’impact des phénomènes météorologiques extrêmes et les alertes précoces.
Le monde est en train de franchir cinq points de bascule, avec des conséquences irréversibles sur les écosystèmes. Disparition des calottes glaciaires du Groënland et de l’Antarctique Ouest, des récifs coralliens tropicaux ou encore dégel du pergélisol : ce ne sont plus des projections lointaines mais des réalités qui peuvent se produire dès maintenant, au niveau de réchauffement actuel. Au fur et à mesure que la température moyenne mondiale va s'élever, de nouveaux points de bascule seront atteints.
Un réchauffement de la planète au-delà de 1,5°C, objectif le plus ambitieux de l'accord de Paris, pourrait déclencher plusieurs "points de basculement" climatiques qui engendreraient de catastrophiques réactions en chaîne, selon une étude publiée jeudi dans la revue Science.
Disparition de la calotte glaciaire du Groenland, mort des récifs coralliens… Les points de bascule climatique sont nombreux et pourraient intervenir dès 1,5 °C de hausse de la température mondiale, alertent des scientifiques.
Des «points de bascule» climatiques ne sont pas un lointain horizon. Certains bouleversements majeurs peuvent déjà advenir, et ils seront beaucoup plus probables dès un réchauffement de 1,5°C, selon une nouvelle étude.

mai 2022

Le 23 juin 1988, en pleine sécheresse outre-Atlantique, James E. Hansen s’adresse au Congrès des États-Unis. Son discours déclenche une vague d’intérêt pour le réchauffement climatique dans le monde. Le 23 juin 2008, devant la commission parlementaire sur l’indépendance énergétique et le réchauffement global de ce même Congrès, cet homme libre a lancé un nouveau cri d’alarme à ses compatriotes, qui choisiront, lors d’une élection décisive pour le sort de la planète, leur nouveau président dans quelques semaines.

mars 2022

Quelques semaines après la publication d'un nouveau rapport du GIEC, une autre étude vient un peu plus assombrir les prévisions climatiques. Des chercheurs assurent que la fonte du permafrost pourrait bientôt franchir un point de non-retour, beaucoup plus tôt que ce que les scientifiques prédisaient jusqu'ici. Or le permafrost, en fondant, pourrait libérer des millions de tonnes de CO2, de méthane et même de mercure, réchauffant encore plus l'atmosphère.
Au nord de l’Europe, les « tourbières à pergélisol » devraient commencer à dégeler d’ici vingt ans, alertent des scientifiques. Ces zones humides emprisonnent des milliards de tonnes de carbone. Un nouveau « point de bascule » pourrait être franchi.
Selon des données, l’Amazonie s’approche d’un point de basculement, après quoi la forêt tropicale disparaîtrait, ce qui aurait des conséquences «profondes» pour le climat mondial et la biodiversité.
La forêt amazonienne est menacée. Par un réchauffement climatique et par des opérations de déforestation qui la fragilisent. Des chercheurs le confirment aujourd'hui. Ils apportent des preuves empiriques directes que la forêt amazonienne perd de sa résilience. Et s'approche ainsi dangereusement de son point de basculement.
La forêt amazonienne est menacée. Par un réchauffement climatique et par des opérations de déforestation qui la fragilisent. Des chercheurs le confirment aujourd'hui. Ils apportent des preuves empiriques directes que la forêt amazonienne perd de sa résilience. Et s'approche ainsi dangereusement de son point de basculement.
Sous les coups de boutoir du réchauffement et la déforestation, l’Amazonie approche plus rapidement que prévu d’un "point de bascule" qui pourrait transformer en savane la plus grande forêt tropicale du monde, puits de carbone vital pour l’équilibre de la planète.

décembre 2021

L’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS) a rendu son rapport d’étude n°16 sur la vulnérabilité des emprises militaires aux changements climatiques en juin 2021. Il conclut à l’augmentation de l’exposition aux risques climatiques de toutes les emprises militaires et présente les sécheresses comme l’un des risques principaux pour ces dernières (Gemenne et al., 2021). L’inquiétude du corps militaire face aux conséquences du changement climatique est de plus en plus marquée et s’explique à bien des égards.
L’Antarctique est en tout point fascinant. D’abord, rares sont les personnes qui auront la chance d’y aller. En effet, à moins de travailler pour la science ou d’être un(e) touriste fortuné(e) qui aime se promener par -30°C, il y a très peu de chance qu’on retrouve un selfie de vous sur le glacier de Pine Island. Mais pourquoi s’intéresser à ce qu’il se passe à 15000km de la France métropolitaine ?

novembre 2021

L’Amazonie est peut-être le premier sujet de notre série d’articles sur le climat dont 100% des lectrices et lecteurs ont déjà entendu parler. Cette région naturelle d’Amérique du Sud que nous avons étudiée à l’école est si immense et si riche qu’elle ne peut laisser personne indifférent(e).
Avec la déforestation se profile le pire des scénarios : l'atteinte du point de bascule, où la forêt passerait de puits de carbone à émettrice de CO2, accélérant le réchauffement au lieu de le ralentir. Reportage dans un pays au bord du gouffre climatique.

octobre 2021

Het omslagpunt nadert waarop het Amazonewoud onomkeerbaar het vermogen verliest om water en CO2 op te slaan en het klimaat te reguleren. Betrek Amazonebewoners bij het beleid hierover en erken de gemeenschappen hierin, zeggen inheemse leiders.

septembre 2021

Les signaux d’alerte précoce (EWS) des points de basculement sont essentiels pour anticiper l’effondrement du système ou d’autres changements soudains. Cependant, les indicateurs génériques d’alerte précoce existants conçus pour fonctionner dans tous les systèmes ne fournissent pas d’informations sur l’état qui se situe au-delà du point de basculement.
Une étude permet de mieux comprendre les causes de l’épisode hyperthermique qui marque le passage du Paléocène à l’Éocène. En particulier, elle met en évidence le franchissement de points de bascule climatiques suite à une intense activité volcanique sous-marine. Les résultats sont récemment parus dans la revue Nature Communications.

août 2021

Les modélisations climatiques imaginent ce que pourrait ressembler la planète avec plusieurs degrés en plus. Mais il y a une chose qu'il est aujourd'hui difficile de prendre en compte : les points de bascule. Il s'agit de seuils au-delà desquels un système change rapidement d'état, et peut entraîner des réactions en chaîne irréversibles et incontrôlables à l'échelle planétaire. Le GIEC évoquait ce risque, il y a déjà 20 ans.
Des hivers plus rudes en Europe du nord (jusqu’à 10°C de moins au nord de la Norvège), une montée du niveau des eaux sur la côte Est de l’Amérique du Nord, des modifications des régimes de moussons de l’Amérique du Sud, à l’Inde en passant par l’Afrique… Voici les perturbations climatiques qui pourraient avoir lieu si la Circulation méridienne de retournement Atlantique (Amoc), un ensemble de courants marins de cet océan qui côtoie la France, continuait à se déstabiliser.
Depuis 30 ans, la compréhension du climat terrestre dans sa globalité s’est donc terriblement améliorée, permettant le développement de nouveaux concepts. L’un d’entre eux suscite beaucoup d’intérêt auprès de la communauté scientifique : c’est celui des points de basculement (tipping point).
Avons-nous déjà passé des points de rupture ? Le rapport du GIEC ne le conclut pas. Mon évaluation est également que nous n’avons pas encore franchi un point de basculement majeur. Malheureusement, nous disposons de plus en plus de preuves scientifiques que nous nous en rapprochons, qu’il s’agisse de la déstabilisation de l’ouest de la calotte antarctique, de l’AMOC, de l’Arctique ou des récifs coralliens.
Au cours des dernières années, les scientifiques ont identifié un ralentissement notable de la circulation thermohaline dans le cadre de la circulation méridienne de retournement Atlantique (AMOC). les courants étant à leur rythme le plus lent depuis plus d’un millier d’années. Des chercheurs ont montré que l’accélération de l’augmentation des températures et la diminution de la salinité pourraient entraîner un ralentissement extrême, voire un arrêt complet du Gulf Stream, avec des conséquences désastreuses.
Climate scientists have detected warning signs of the collapse of the Gulf Stream, one of the planet’s main potential tipping points. The research found “an almost complete loss of stability over the last century” of the currents that researchers call the Atlantic Meridional Overturning Circulation (AMOC). The currents are already at their slowest point in at least 1,600 years, but the new analysis shows they may be nearing a shutdown.
The Atlantic Meridional Overturning Circulation (AMOC), a major ocean current system transporting warm surface waters toward the northern Atlantic, has been suggested to exhibit two distinct modes of operation. A collapse from the currently attained strong to the weak mode would have severe impacts on the global climate system and further multi-stable Earth system components. Observations and recently suggested fingerprints of AMOC variability indicate a gradual weakening during the last decades, but estimates of the critical transition point remain uncertain.

juillet 2021

Abrupt disruptions to Earth's climate thousands of years ago that caused extreme sea-level rise and mass ice cap melting can serve as an early warning system for today's planetary tipping points, according to new research.
Around 13,000 researchers have called for urgent action to slow down the climate emergency as extreme weather patterns shock the world. They listed three core measures.
Selon une étude de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), la température de la Terre pourrait atteindre son “point de basculement” dans les cinq prochaines années.
This is Why it Feels Like We Might Not Have a Future Anymore. The truth is that we’re probably way past the point of no return. Every thoughtful mind can see the writing on the wall. Experts, like me, can weight in with facts. Ecologists will tell you that mass annihilation is going to rip us apart, too. Climate scientists will tell you it hasn’t been this hot for millions of years, and every year, the temperature goes up by the equivalent in bio-geological time, of a few million years.

juin 2021

il est urgent de se doter d'une vision plus globale que la seule question du carbone. L'enjeu du siècle sera le triptyque eau – alimentation – énergie. Il est essentiel, y compris pour nous en France, de regarder ce qui se passe aujourd’hui en Californie. On se retrouve avec des sécheresses qu’on n’a jamais connu.
la planète pourrait avoir franchi un point de bascule vers un réchauffement climatique irréversible, estiment certains scientifiques. Parmi eux, le climatologue Markus Rex, responsable de la plus grande expédition scientifique jamais menée au Pôle Nord. Pendant près d’un an, ses équipes ont recueilli des données exhaustives, durant les mois où leur navire s’est laissé dériver dans les glaces de l’Arctique.
Selon les chercheurs, la hausse des températures océaniques conduira à l’effondrement des barrières de glace. La fonte de ces glaciers qui se prolongent sur la mer entraînerait une élévation mondiale du niveau de la mer de plusieurs mètres. En plus, l’océan Austral est le principal puits de carbone de la planète : il séquestre plus ou moins 35 % de CO2 en surplus dans l’atmosphère. Mais l’absorption accrue du dioxyde de carbone entraînera l’acidification de l’océan et pourrait perturber les réseaux trophiques.
La planète a peut-être déjà franchi un point de bascule vers un réchauffement climatique irréversible, avec à la clef des conséquences "en cascade" du Groenland à la Grande barrière de corail, a averti mardi le responsable de la plus grande expédition scientifique jamais menée au Pôle Nord.
Le point de basculement vers un réchauffement climatique irréversible a peut-être été déjà franchi, avec à la clef des conséquences en cascade pour la planète, a averti mardi le responsable allemand de la plus grande expédition scientifique jamais menée au Pôle Nord.
Le point de basculement vers un réchauffement climatique irréversible a peut-être été déjà franchi, avec à la clef des conséquences en cascade pour la planète, a averti mardi le responsable allemand de la plus grande expédition scientifique jamais menée au Pôle Nord.
Markus Rex, physicien atmosphérique et chef de l'expédition MOSAiC, présente ce mardi les premiers résultats de la plus grande mission scientifique dans la région polaire à ce jour.
Le monde se rapproche de en plus plus d’un précipice : de multiples points de basculement environnementaux – changement climatique, effondrement de la biodiversité, destruction des écosystèmes naturels… – demandent une action concertée des États et des citoyens. Dans ce mouvement, la Chine occupe une position charnière et paradoxale de deuxième économie mondiale et premier pollueur en agrégat : il est donc inconcevable que des solutions puissent être trouvées aux défis environnementaux mondiaux sans des efforts importants de la part de Pékin.
Un large ensemble de simulations réalisées à l’aide d’un modèle novateur permet de mieux quantifier le risque d’effet domino ou cascade climatique – une forme de réaction en chaine – pour différents niveaux de réchauffement global. Les résultats révèlent la dimension interconnectée des éléments pouvant bifurquer, tels l’inlandsis groenlandais, et l’importance de les étudier via une approche intégrée. L’étude paraît ce mois-ci dans la revue scientifique Earth System Dynamics.
Deux études récentes sur la forêt amazonienne montre qu’elle est en grand danger de disparaître et que d’ores et déjà, elle ne remplit plus son rôle de « poumon vert », à même d’épurer l’air et de stocker le carbone atmosphérique grâce à la photosynthèse. Selon la première, parue dans Nature Communications, la forêt amazonienne approcherait d’un point de non-retour, tout comme les coraux de certains océans. Détruite à la fois par la déforestation, les feux de forêt et le changement climatique, elle pourrait même disparaître dans 50 ans.

mai 2021

Plusieurs récentes études révèlent que la fonte accélérée d’une partie de la calotte glaciaire au Groenland, notamment à l’Ouest, est désormais quasi irréversible. Ces zones menacent en effet de ne plus se régénérer.

mars 2021

Réchauffement climatique : y a-t-il des « points de bascule » : certains phénomènes tels que la fonte de la calotte glaciaire arctique, du pergélisol (le sous-sol gelé) ou le ralentissement du Gulf Stream qui pourraient avoir des effets en cascade, systémiques et irréversibles ?
Selon une étude, publiée le 3 juin 2021 dans la revue scientifique Earth System Dynamics, une forte corrélation existerait entre les calottes glaciaires du Groenland et de l’Antarctique occidental, la forêt amazonienne, et la circulation océanique de l’Atlantique. Si l’un de ces éléments est bouleversé, un effet domino important pourrait avoir lieu.

mars 2021

Pour la première fois, un consortium international de chercheurs montre que la hausse de l’aridité globale, prévue dans le cadre du changement climatique, conduit à des changements abrupts dans le fonctionnement des écosystèmes des zones arides. Trois seuils sont mis en évidence.

juin 2020

Les plus éminents climatologues et biologistes du monde entier estiment que nous nous dirigeons vers l’effondrement de la civilisation, et qu’il est peut-être déjà trop tard pour changer de cap.

mars 2020

Alors que les scientifiques prévoyaient l’émergence de conditions de chaleur et d’humidité insoutenables dans plusieurs zones du globe d’ici 2050, ces nouveaux travaux montrent que de telles conditions existent déjà depuis des décennies, et que la limite théorique de survie humaine a déjà été atteinte à plusieurs occasions.
La marche persistante d’un climat en réchauffement se manifeste par une multitude de changements continus et progressifs. Les niveaux de CO2 dans l’atmosphère. La teneur en chaleur des océans. L’élévation du niveau de la mer à l’échelle mondiale. Chacune s’élève d’année en année, alimentée par les émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine. Et si les records climatiques sont régulièrement battus, l’impact cumulatif de ces changements pourrait également entraîner des changements radicaux et irréversibles dans des parties fondamentales du système terrestre.

décembre 2019

novembre 2019

La menace croissante de changements climatiques abrupts et irréversibles doit contraindre à une action politique et économique sur les émissions.

octobre 2019

décembre 2018

octobre 2018

The IPCC report sets out the world’s current knowledge of the impacts of 1.5C of warming and clearly shows the dangers of breaching such a limit. However, many scientists are increasingly worried about factors about which we know much less. These “known unknowns” of climate change are tipping points, or feedback mechanisms within the climate system – thresholds that, if passed, could send the Earth into a spiral of runaway climate change.
Le Giec se réunit cette semaine pour étudier les effets qu’aurait un réchauffement de 1,5 °C sur les sociétés humaines. Mais une hypothèse les inquiète encore plus, publiée dans un journal scientifique cet été : la possibilité d’un emballement incontrôlable du système climatique à partir d’un seuil de réchauffement. Qui pourrait être proche de 2 °C.

août 2018

Même si l’on tient l’objectif de rester sous le seuil de 2°C de réchauffement, un emballement de phénomènes naturels est envisageable. Il pourrait provoquer une accélération du réchauffement entre 4 et 5°C, rendant « inhabitable » une partie de la planète. Ces scénarios – hypothétiques – ont été élaborés par des chercheurs qui ont identifié 10 points de basculements possibles et soulignent ainsi l’urgence d’agir.
Une nouvelle étude alerte sur le risque de dépasser le seuil des 2 °C, si les émissions de gaz à effet de serre ne sont pas ralenties significativement à court terme. Selon leurs recherches, +2 °C serait un point de bascule au-delà duquel le réchauffement climatique en cours deviendrait irréversible. Les scientifiques redoutent les effets de rétroactions qui pourraient déjà être à l’œuvre et accélérer le réchauffement global.

mars 2017


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