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Chris
No one knows when the next alert or request to save a chunk of US government-held climate data will come in. Such data, long available online, keeps getting taken down by US President Donald Trump's administration. For the last six months or so, Cathy Richards has been entrenched in the response. She works for one of several organisations bent on downloading and archiving public data before it disappears.
La presse a très récemment révélé la décision du Président Trump de suspendre les financements fédéraux de la plus prestigieuse Université américaine : Harvard. On parle de plus de 2,2 milliards de dollars qui seraient gelés ; d’autres menaces pèsent sur les dispositifs fiscaux dont l’Université américaine bénéficie. De nombreuses Agences fédérales de recherche ont également été l’objet de coupes sombres et des milliers de chercheurs, ont été licenciés sur le champ. Ces décisions ont, contestablement, pour ambition de museler ces Institutions productrices de savoir et, tout particulièrement, en limitant la liberté académique. Sans que nous n’en soyons là aujourd’hui en Belgique, force est de constater que l’inquiétude est grande dans le monde académique.
Les températures records observées à la surface de l’Atlantique Nord en 2023 ont fait couler beaucoup d’encre. Témoignent-elles réellement, comme on a alors pu le lire, d’un emballement du changement climatique ? Dans une récente étude, quatre chercheurs français répondent à cette question.
Alors que la science n’a sans doute jamais été aussi nécessaire pour éclairer nos choix collectifs, à l’âge du bouleversement climatique et de l’érosion de la biodiversité, sommes-nous face à un nouvel obscurantisme ? Pour analyser ce déni de la parole scientifique, Socialter a interrogé deux chercheurs, le climatologue Christophe Cassou, co-auteur en 2021 du 6e rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), engagé dans l’opposition à l’A69, et l’écologue Philippe Grandcolas, spécialiste de la biologie de l’évolution, fin connaisseur des travaux de l’IPBES (plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques) et des COP sur la biodiversité.
Seulement 2 % des produits alimentaires consommés en Île-de-France sont locaux. Une réalité qui interpelle quand on sait que la région est par ailleurs une terre agricole qui exporte par exemple ses céréales. Pourrait-on dès lors remédier à cette situation ?
L’ancienne ministre de la justice occupe depuis l’automne 2024 une prestigieuse chaire universitaire au Brésil. Elle prépare activement la COP30, où elle défendra la préservation de la forêt amazonienne, en s’appuyant sur le travail des chercheurs qu’elle dirige.
In december is het tien jaar geleden dat het Klimaatakkoord van Parijs werd gesloten. Christiana Figueres stond toen aan het hoofd van het VN-Klimaatverdrag en mag dat historische moment mee op haar palmares zetten. De wereld is de afgelopen tien jaar drastisch veranderd en klimaatbeleid zit, ondanks de ontelbare alarmsignalen, in het slop, maar Figueres blijft geloven in de mogelijkheid om het tij te keren, als een morele plicht.
Le ministre de l'Energie du gouvernement Trump avait un message clair lundi à Houston, au Texas, où les énergéticiens sont rassemblés: il est temps de redonner la priorité à la production d'énergies fossiles plutôt qu'à la lutte contre le réchauffement climatique. S'exprimant en ouverture de la CERA Week, un événement professionnel majeur, Chris Wright a évoqué l'abandon de certaines normes ou les efforts du président américain pour promouvoir le gaz naturel liquéfié (GNL) comme exemples de changements par rapport à la présidence de Joe Biden, dont il s'est moqué.
Christophe Cassou, climatologue : "Les petits renoncements sont le terreau des grandes catastrophes"
(08/03) - France24,Des milliers de personnes se sont mobilisées partout dans le monde, en soutien aux scientifiques américains. C'est le mouvement Stand up for science. Les conséquences de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump ont été immédiates sur leurs recherches et font craindre le pire. Comment expliquer ce déni d'une certaine science ? C'est l'éclairage de notre invité, “Au coeur de l’info”, le climatologue Christophe Cassou. Il est aussi directeur de recherche du CNRS, co-auteur du dernier rapport du GIEC.
Conférence à l'Université HEIP de Lyon
Face au freinage des ambitions environnementales en France comme ailleurs en Europe, les scientifiques du climat s'interrogent sur la meilleure tactique pour rétablir leur place dans le débat public, quelques années après le pic de l'intérêt politique. "On a l'impression de vivre un délitement de tout ce qui était discuté pour arriver à des consensus. On le voit sur l'eau, la protection des sols, la biodiversité, le climat", énumère Christophe Cassou, physicien climatologue et directeur de recherche au CNRS qui se dit "désarçonné, en colère, décontenancé".
De longue date, le Groenland subit des pressions multiformes pour s'ouvrir aux investissements étrangers. Entre autres procès, cette terre riche en minéraux est attaquée par la société australienne ETM, qui lui réclame une indemnisation de 11,5 milliards de dollars pour rupture de contrat. Avec Donald Trump, l'ambition des États-Unis s'affiche désormais sans fard : au nom de la « sécurité énergétique », ils souhaitent faire main basse sur le sous-sol de l'île. L'abondance de métaux rares que l'on y trouve permettrait notamment de briser le quasi-monopole conquis par la Chine dans ce secteur. L'empire du milieu, qui souhaite intégrer le Groenland dans des « routes polaires de la soie », n'est pas en reste.
En travaillant à une réactualisation de mon livre « Carbone fossile, carbone vivant », j’ai été amené à réobserver les séries longues d’émission de CO2 et de PIB. Observations sur le passé. Une caractéristique importante me semble être la décorrélation relative entre le régime de croissance économique et les émissions de carbone fossile observée depuis les chocs pétroliers des années 70.
Chaque semaine, Jean-Louis Caffier (journaliste spécialiste des questions énergétiques) interroge un membre de notre comité scientifique, avec 3 questions faisant écho à l'actualité.Invité cette semaine : Christian de Perthuis, fondateur de la Chaire Économie du Climat à l'université Paris-Dauphine-PSL.
C’est un mot en 9 lettres qui fend le ciel bleu que la météo hivernale (certes froide) nous offre depuis quelques jours : "exécrable". On ne parle évidemment pas de la lumière, carburant essentiel de nos réserves en vitamine D, mais de ce qui ne se voit pas au premier coup d’œil : la qualité de l’air. Or, elle est "exécrable" donc dans les principales villes du pays.
Le service Copernicus et les autres centres d'observation de la température mondiale viennent de le confirmer. 2024 est bien l’année la plus chaude jamais enregistrée. Ce qui n’était qu’anticipation est devenu réalité : la hausse de la température mondiale relativement à l’ère préindustrielle a légèrement excédé 1,5 °C en 2024.
Si le thermomètre affiche une hausse de 1,5 °C sur un an, on ne peut affirmer que la cible de l’accord de Paris a été dépassée. Comprendre les causes de ce pic de température reste pourtant précieux.
Destiné à analyser la production, la réception et les usages des expertises et des argumentaires dans les procès climatiques, cet ouvrage est le résultat de travaux de recherche conduits dans le cadre du projet de recherche ANR PROCLIMEX dont l’un des objectifs est de mettre en lumière les stratégies judiciaires. L’ouvrage rassemble des chercheurs, des avocats, des juristes d’ONG qui étudient l’expertise sous l’angle du droit. Et afin de rendre compte de la finesse des jeux d’acteurs et des co-productions de savoirs complexes hors et dans le procès, des sociologues des sciences ou des usages militants du droit, ethnographes des mobilisations environnementales, politistes et climatologues éclairent les processus de construction de preuves (respect des trajectoires et objectifs climatiques), les discours et récits socio-juridiques à l’œuvre, les tentatives d’objectivation (comptabilité carbone). Déterminante pour l’issue du procès, la production des expertises soulève des questions fondamentales notamment liées
Géo-ingénierie ? Le terme reste mystérieux pour le plus grand nombre et plutôt inquiétant. Le grand talent de Marine de Guglielmo Weber et Rémi Noyon est de nous guider dans sa genèse historique, de nous dévoiler la diversité de ses applications et de nous aider à poser les bonnes questions sur les conditions de son déploiement. L’heure n’est en effet plus aux débats abstraits ou aux représentations dystopiques. Comme l’indique le sous-titre de l’ouvrage, « la géo-ingénierie infiltre les politiques climatiques ».
Dans son rapport de l’an passé, l’AIE évoquait un « point de retournement historique » avec le pic charbonnier en vue. Changement de ton, dans le rapport 2024. La consommation mondiale devrait progresser de 1% en 2024 (2,4% en 2023). Pour les trois prochaines années, il n’est plus question que d’un plateau (légèrement ascendant en réalité).De la lecture du rapport, j’ai retenu quatre points principaux.
Volgens de Wereldbank kwam er bij de wereldwijde olieproductie vorig jaar bijna 150 miljard kubieke meter methaangas vrij, omgerekend zo’n 500 miljoen ton CO2-equivalent. Dat is volgens het IEA ongeveer 1,3% van de mondiale uitstoot van broeikasgasuitstoot door winning en verbranding van fossiele brandstoffen. Hiermee kan heel Afrika ten zuiden van de Sahara van energie worden voorzien. Methaan dat vrijkomt bij winning van olie, al dan niet uit schalielagen, wordt immers meestal afgefakkeld (flaring) als het niet economisch rendabel is om het op te slaan en voor energieopwekking te verbranden. Het Internationale Energieagentschap stelt dat de methaanuitstoot van de oliesector wellicht met 70% onderschat wordt. Ook bij de productie en het transport van aardgas uit gasbellen, ontsnappen er aanzienlijke hoeveelheden methaan. Steenkoolmijnen lekken eveneens grote hoeveelheden methaan, waarbij de diepste mijnen het meest methaan vrijgeven. Ook nadat ze gesloten zijn, kunnen ze verder methaan lekken.
Ethnobotaniste et directrice de recherche à l’Institut de recherche pour le Développement, Geneviève Michon dénonce le développement de l’industrie de la forêt, encouragé par une supposée «transition verte».
Le biologiste et botaniste Francis Hallé, infatigable protecteur des arbres, porte le projet pas si fou de faire revivre une forêt primaire en Europe. Une nécessité écologique, mais aussi philosophique.
USA: Trump nomme Chris Wright, entrepreneur dans la fracturation hydraulique, secrétaire à l'Energie
(18/11) - Afp,Le président-élu des États-Unis Donald Trump a annoncé samedi la nomination au poste de secrétaire à l'Energie de Chris Wright, magnat de la fracturation hydraulique, PDG de l'entreprise Liberty Energy, qui devra "réduire les formalités administratives", pour stimuler les investissements dans les combustibles fossiles. "En tant que secrétaire à l'Energie, Chris sera un leader clé, stimulant l'innovation, réduisant les formalités administratives et inaugurant un nouvel +âge d'or de la prospérité américaine et de la paix mondiale+", a déclaré Donald Trump dans un communiqué.
Climatosceptique, PDG d'une entreprise et soutenu par les compagnies pétrolières américaines: Donald Trump a nommé au poste de secrétaire à l'Energie Chris Wright, PDG de l'entreprise Liberty Energy, avec pour feuille de route la dérégulation du secteur. "En tant que ministre de l'Energie, Chris sera un leader clé, stimulant l'innovation, réduisant les barrières administratives et inaugurant un nouvel +âge d'or de la prospérité américaine et de la paix mondiale+", a déclaré Donald Trump dans un communiqué.
Si nous avions réellement conscience de l’impact brutal et irrémédiable du changement climatique sur l’avenir des générations futures, nous changerions immédiatement. Il en va de même pour la destruction de l’habitat des vers de terre, l’effondrement de la biodiversité, la pollution de l’air, des océans, des eaux potables, et j’en passe. La liste est trop longue. Or, rien ne change, car le changement nous fait peur.
À la COP28 de Dubaï, le premier bilan global de l’accord de Paris a fait le constat que la pleine application des NDC permettrait dans le meilleur des cas de réduire d’environ 10% les émissions mondiales de gaz à effet de serre entre 2019 et 2030 (zone rouge sur le graphique).
Les services russes font appel à des espions amateurs, qu’ils envoient sur le Vieux Continent pour des opérations de déstabilisation. Le journal allemand “Die Zeit” a enquêté sur ce phénomène qui déroute les renseignements occidentaux.
Alors que débute une COP29 qui s'annonce à bien des égards particulières, pénétrez dans les coulisses de cette conférence des parties avec des scientifiques qui s'y rendent depuis quatre éditions.
À quelques jours du début de la COP29, la victoire électorale de Donald Trump n'augure rien de bon pour le futur des politiques et du financement de la lutte contre le changement climatique.
Enseignant à Sciences-Po Bordeaux, Timothée Duverger revient sur la création de ces endroits et leur rôle dans une société qui change ses modes de vie.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) publie ce jour son édition 2024 des « perspectives technologiques ». Le premier constat est à nouveau celui de l’accélération de la diffusion des énergies de flux – le solaire et l’éolien à titre principal – via deux canaux principaux : la production d’électricité et l’électrification des usages amorcée dans le secteur des transports et, à un moindre degré, de l’industrie.
Le rendez-vous national des tiers-lieux réunissait à Toulouse, du 8 au 10 octobre, un millier de participants. Un événement fourni et divers, à l’image de ces structures hybrides qui travaillent sur le terrain à faire vivre le lien social.
Envisagez-vous d’acheter moins de bouteilles en plastique à l’avenir ? Peut-être pas, mais maintenant que la question vous a été posée, vous allez forcément y penser.
La firme de Mountain View vient d’annoncer un partenariat qui, dès 2030, lui permettra de s’alimenter en énergie nucléaire d’un genre nouveau
L’hydrogène, déjà vanté par Jules Verne en 1875, ne pourra être vraiment « vert » que s’il est produit à partir de renouvelables. Le premier enjeu de la révolution de l’hydrogène consiste donc à basculer vers une production non carbonée, et ceci à l’échelle industrielle.De Jules Verne à Jérémy Rifkin, nombreux ont été les visionnaires promettant une révolution de l’hydrogène. Écoutons l’ingénieur Cyrus Smith, personnage principal de L’Île mystérieuse (1875) :
Le rapport du WWF offre une lueur d'espoir pour la conservation, mais avertit d'une planète en péril
(10/10) - Christophe Assogbale rapport montre que les populations de la faune à travers l'Afrique ont diminué de 76 % au cours des 50 dernières années. Le péril de la planète est également lié au fait que le financement est inadéquat, les entités publiques et privées investissant très souvent dans des activités qui nuisent aux écosystèmes et aggravent le changement climatique.
We are on the brink of an irreversible climate disaster. This is a global emergency beyond any doubt. Much of the very fabric of life on Earth is imperiled. We are stepping into a critical and unpredictable new phase of the climate crisis. For many years, scientists, including a group of more than 15,000, have sounded the alarm about the impending dangers of climate change driven by increasing greenhouse gas emissions and ecosystem change (Ripple et al. 2020).
Les aires protégées, notamment celles situées en Afrique, subissent des pressions liées aux activités humaines telles que la chasse, l'agriculture et la carbonisation. Ces pressions anthropiques, qui contribuent à la dégradation des aires, réduisent le potentiel de stockage de carbone de ces écosystèmes.
Sans regard critique, les slogans et mots nouveaux qui rythment les débats sur la transition peuvent perdre de leur sens, voire avoir un effet délétère.
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