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International

août 2025

Le cabinet de sécurité israélien a validé, dans la nuit de jeudi à vendredi, un plan présenté par Benjamin Netanyahu visant à "vaincre" le Hamas et à "prendre le contrôle" de la ville de Gaza, ravagée par la guerre et confrontée à une grave crise humanitaire.
Après l'approbation par le cabinet de sécurité israélien dans la nuit de jeudi à vendredi d'un plan visant à prendre le contrôle de la ville de Gaza, les premières réactions internationales dénoncent à l'unanimité cette décision. Le Hamas a prévenu qu'elle signifie le "sacrifice" des otages.
Crimes de guerre, crimes contre l’humanité, intention génocidaire : «Libération» publie un appel signé par plus de 150 professeurs francophones de droit international qui s’unissent autour huit constats juridiques sur la situation au Proche-Orient.
Après avoir annoncé la suspension du partage de données satellitaires indispensables au suivi des cyclones dans l’Atlantique Nord, les autorités américaines ont renoncé in extremis à cette décision qui inquiétait de nombreux scientifiques.
Pressions, menaces, sanctions : les Etats-Unis, leur allié israélien et quelques pays européens ont multiplié, depuis le printemps 2024, les manœuvres visant à empêcher l’inculpation de Benyamin Nétanyahou par la CPI.

juillet 2025

L’avis de la Cour internationale de justice du 23 juillet change la donne du droit international climatique, soutiennent, dans une tribune au « Monde », la juriste Eleonora Bottini et la directrice générale de C40 Cities, Caterina Sarfatti.
La plus haute juridiction internationale affirme que l’inaction climatique peut désormais constituer une violation du droit international. Elle précise que les Etats ont l’obligation de prendre des mesures conséquentes, rapides et durables pour réduire les émissions de gaz à effet de serre – obligations valables pour tous les Etats, qu’ils aient ou non signé les grands accords climatiques.
La Cour internationale de justice ouvre la voie aux « réparations » climatiques.
La Cour Internationale de Justice (CIJ) vient de prononcer un avis historique sur les obligations des Etats dans la lutte contre le
Les feux de forêts ont ravagé la Grèce durant le week-end des 26 et 27 juillet. Alors que les conditions climatiques actuelles favorisent les incendies, l’impréparation de l’État est pointée du doigt par la presse du pays, exaspérée de présenter chaque année les mêmes griefs.
Le président américain et la présidente de la Commission européenne sont parvenus, dimanche 27 juillet en Écosse, à un accord prévoyant que les produits européens exportés vers les États-Unis seraient taxés à 15 %. Un “deal” qui “limite la casse”, souligne la presse européenne, laquelle estime cependant que Bruxelles s’est résigné face à Washington.
Pour la première fois de son histoire, la plus haute juridiction mondiale explique concrètement ce que les États doivent faire – et s'abstenir de faire – pour prévenir une déstabilisation climatique supplémentaire. Qu'est-ce que cela signifie pour la Belgique, condamnée à deux reprises dans l'Affaire Climat (Klimaatzaak), mais qui ignore toujours ces jugements ?
Le code minier, en discussion depuis des années, n’a pas été finalisé. Le représentant du président français espère que de nouveaux Etats se positionneront en faveur d’une pause de précaution et vise « une coalition de 80 pays » à l’été 2026.
Plus de 40 ex-diplomates de l’UE, indignés par le massacre d’Israéliens du 7 Octobre et les crimes atroces contre le peuple palestinien, appellent à des mesures contre les actions illégales menées par Israël, à Gaza et en Cisjordanie.
L'avis historique sur le climat rendu mercredi par la plus haute cour mondiale pourrait rendre plus risquées juridiquement les activités du secteur pétrogazier, à commencer par l'expansion des forages, selon l'analyse d'experts. La Cour internationale de justice (CIJ) a défendu dans un avis consultatif une position très ferme sur les énergies fossiles, qui a même surpris les observateurs chevronnés du droit de l'environnement. La plus haute juridiction de l'ONU, basée à La Haye, a déclaré que les États avaient l'obligation de répondre à la "menace urgente et existentielle" du réchauffement climatique.
Sous le couvert de formation technologique, des milliers de jeunes Russes sont peu à peu formés à la conception de drones militaires. Une enquête du média indépendant russe “The Insider” révèle comment l’État orchestre ce programme pour transformer des écoliers en ingénieurs de guerre.
Les journaux officiels russes prennent très au sérieux la rumeur affirmant que c’est à la Première dame des États-Unis que l’on doit le durcissement de ton de Donald Trump à l’égard du Kremlin dans le dossier ukrainien.
Contraindre les grands Etats à réduire leur pollution carbone qui réchauffe la planète est peut-être hors de portée de la plus haute cour mondiale, mais l'avis historique qu'elle a rendu mercredi fournit une arme redoutable aux pays et aux militants à l'avant-garde de la lutte contre le changement climatique. Même s'il est consultatif et non contraignant, l'avis de la Cour internationale de justice (CIJ), plus haute juridiction de l'ONU, n'est pas sans pouvoir, bien au contraire.
Cette semaine, la Cour internationale de justice a rendu un avis historique, confirmant l'obligation juridique faite aux Etats d'agir contre le changement climatique, et par conséquent de réglementer les entreprises émettrices de gaz à effet de serre. Paul Mougeolle, juriste et coordinateur de "Notre Affaire à tous" décrypte cet avis pour Novethic.
Dans un avis inédit et unanime, la CIJ a conclu que les Etats qui violent leurs obligations climatiques commettent un acte « illicite » et pourraient se voir réclamer des « réparations » par les pays les plus affectés.
La CIJ a émis un avis consultatif inédit, mentionnant l’obligation de « réparations » pour les pays pollueurs envers les Etats les plus affectés par le changement climatique.
La plus haute juridiction de l’ONU a recadré les normes internationales en matière climatique mercredi 23 juillet, en affirmant que les pays sont juridiquement contraints de limiter la hausse des températures, explique la spécialiste du droit de l’environnement Marta Torre-Schaub.
Dans un avis inédit et unanime, la Cour internationale de justice reconnaît que le changement climatique constitue une menace existentielle pour l’humanité. Les États qui cherchent à se soustraire à leurs obligations climatiques peuvent voir leur responsabilité engagée, ce qui ouvre la voie à de futurs contentieux climatiques nationaux.
La plus haute juridiction de l’ONU rend un avis ce mercredi 23 juillet pour savoir quels sont les devoirs des pays en matière de lutte contre le changement climatique et déterminer la responsabilité historique des nations les plus polluantes. Cette décision pourrait avoir un impact sur les tribunaux du monde entier.
La Cour internationale de justice, la plus haute juridiction de l’ONU, rend un avis très attendu sur les obligations légales des Etats sur le changement climatique. […] Le changement climatique est « une menace urgente et existentielle », a déclaré, mercredi 23 juillet, le président de la Cour internationale de justice en rendant un avis très attendu sur les obligations légales des États sur le changement climatique, portant sur les obligations légales des États pour freiner le changement climatique, avec une question-clé : la responsabilité historique des grands pollueurs sera-t-elle engagée ?
Dans un avis inédit rendu ce mercredi 23 juillet, la Cour internationale de justice estime que la hausse des températures est «une menace urgente et existentielle». La plus haute juridiction de l’ONU ouvre ainsi la voie à une obligation de «réparations» pour les pays pollueurs.
Healthy environment a human right, UN court says in landmark climate ruling
La Cour internationale de justice a rendu mercredi un avis inédit sur les obligations des Etats en matière climatique, reconnaissant que leurs manquements peuvent constituer un acte "illicite" selon le droit international et ouvrant la voie à des réparations en faveur des pays les plus lésés.
Pour la première fois, la Cour internationale de justice, la plus haute juridiction mondiale, clarifie l'obligation juridique faite aux Etats d'agir contre le changement climatique mais aussi de réparer les dommages causés.
La plus haute juridiction de l'ONU va rendre mercredi un avis consultatif sans précédent sur les obligations légales des Etats pour freiner le changement climatique, avec une question clé : la responsabilité historique des grands pollueurs sera-t-elle engagée ?
La brutalité avec laquelle l’administration Trump a saboté l’Agence pour le développement (Usaid) a provoqué une onde de choc dans les pays africains.
Alors qu’il menace de basculer de nouveau dans la guerre civile, le pays, qui figurait parmi les dix principaux récipiendaires de l’aide au développement américaine, est frappé de plein fouet par la décision de Donald Trump.
Le Congrès américain a définitivement approuvé vendredi des coupes budgétaires de quelque 9 milliards de dollars, sous l'impulsion de la Maison Blanche et de la commission Doge d'Elon Musk, et qui concernent principalement l'aide internationale.
Apparu après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, ce collectif menait des cyberattaques par déni de service contre de nombreuses cibles européennes.
L'ONU a demandé jeudi aux Etats-Unis de revenir sur leur décision d'imposer des sanctions à l'encontre d'une experte de l'ONU qui a critiqué la politique américaine depuis la guerre à Gaza et accusé Israël de "génocide".
La justice climatique internationale avance à grands pas. Tandis que les impacts du changement climatique sont de plus en plus intenses et fréquents, de nombreux Etats ou citoyens décident de porter leurs réclamations devant les plus hautes juridictions. Retour sur trois décisions historiques prises au cours de ces quinze derniers mois.
Les ressources minières des fonds marins n’en finissent plus de cristalliser des tensions internationales. Alors que la prochaine session de négociations de l’Autorité internationale des fonds marins (AIFM) doit débuter le 7 juillet, l’autorité onusienne se trouve sous pression. Tandis qu’elle planche encore sur l’élaboration d’un Code minier international pour les fonds marins, elle pourrait fait face à une tentative de passage en force de certains industriels et de leur allié américain.
Les fermes de bitcoin et autres monnaies électroniques, très énergivores, ont trouvé un refuge en Éthiopie, qui offre une production hydroélectrique abondante. Les autorités prévoient que leurs activités représentent près d’un tiers de la consommation d’électricité en 2025.
Cette pittoresque ville de montagne, nichée dans les Rocheuses, avait été ravagée en juillet 2024 par un incendie destructeur. Depuis, les sinistrés sont revenus et la ville se reconstruit peu à peu. Avec la crainte de nouveaux incendies, dans un Canada qui se réchauffe à un rythme deux fois plus rapide que le reste du monde.
Mais si les vagues de chaleur posent problème à chacun et chacune d’entre nous, la solution consistant à se reposer sur son climatiseur (au domicile comme au travail) est en effet coupable, au moins sous nos latitudes.
Le chef d’Etat de la république islamique a donné son feu vert à un texte mettant sur pause la collaboration avec l’agence onusienne qui vise à limiter le développement du nucléaire militaire.
Une étude de la revue médicale « The Lancet » estime que l’effondrement de l’Usaid risque « d’interrompre, voire d’inverser, deux décennies de progrès pour la santé des populations vulnérables ». Le VIH et le paludisme sont les principales causes de cette surmortalité attendue.

juin 2025

La conférence de l’ONU sur le financement du développement, qui se tient à Séville du lundi 30 juin au jeudi 3 juillet, va tenter de trouver des solutions pour pallier la forte baisse des aides américaines et de pays européens comme la France.
L’armée ukrainienne a affirmé avoir essuyé dans la nuit de samedi à dimanche les frappes aériennes russes “les plus massives” depuis le début de la guerre, en février 2022. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a pour sa part lancé le processus de retrait de Kiev de la convention internationale interdisant les mines antipersonnel.
L’Estonie et la Lituanie ont annoncé vendredi soir avoir notifié formellement à l’ONU leur retrait de la convention internationale interdisant les mines antipersonnel, en vue de renforcer leur défense à la suite de l’agression russe en Ukraine.
Le soutien occidental à Israël contre l’Iran s’inscrit dans une logique d'intervention "préventive" qui, selon ses détracteurs, contribue à l’érosion du droit international mis en place après la Seconde Guerre mondiale. Ce glissement vers une forme de "loi de la jungle", où la force prime sur le droit, pourrait avoir des conséquences graves pour la stabilité mondiale et la coopération entre États.
Pour la spécialiste du droit international Monique Chemillier-Gendreau, la solution à deux États ne peut être le résultat d’une négociation, mais doit être imposée à Israël, notamment par des sanctions.
Face à l’incapacité des pays à diminuer les émissions de gaz à effet de serre, maintenir le réchauffement climatique sous le seuil symbolique des 1,5°C, fixé il y a dix ans par l’accord de Paris, n’est plus un objectif réaliste, constate un collectif de scientifiques dans une étude internationale annuelle sur les données climatiques.
La consommation mondiale de pétrole devrait connaître "une légère baisse" en 2030, premier signe de déclin de cette énergie fossile responsable du changement climatique depuis 2020, année hors norme du Covid, a indiqué mardi l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans un rapport.
L’Iran a lancé dans la nuit de vendredi à samedi sa riposte contre Israël, après les bombardements sans précédent de l’État hébreu sur ses installations nucléaires. Malgré les appels de la communauté internationale à la retenue, Israël a promis de poursuivre ses frappes.
A Nice, la troisième conférence internationale sur les océans (Unoc 3) a fait le plein toute la semaine. De nombreux engagements ont été pris et des coalitions lancées pour un moratoire sur l'exploitation minière en fonds marins ou un traité plastique ambitieux. Mais les mesures concrètes manquent, notamment sur les aires marines protégées. Le bilan apparaît donc mitigé.
Basé à Stockholm, l’Institut international pour la démocratie et l’assistance électorale constate que 40 % des scrutins nationaux organisés en 2024 ont fait l’objet d’« une forme ou d’une autre de contestation de la crédibilité du résultat ».
Un rapport publié vendredi 6 juin 2025 par l’International Crisis Group (ICG), une organisation indépendante qui œuvre pour la prévention des guerres, dénonce "l’expérimentation de la famine à Gaza", comme l’indique son titre : "Gaza : The Starvation Experiment".
La section allemande de Dernière Génération a abandonné les blocages d’autoroutes et les actions dans les musées, pour se focaliser sur d’autres méthodes militantes. Ceux qui se font désormais appeler Nouvelle Génération œuvrent désormais à la création d’un conseil citoyen destiné à lutter contre le dérèglement climatique, assure la “Tageszeitung”.
Réchauffement, acidification, surpêche, pollutions : les maux dont souffrent les milieux marins sont nombreux. Du 9 au 13 juin, une soixantaine de chefs d’Etat sont réunis pour tenter d’enrayer la dégradation de cet écosystème géant indispensable à la vie sur Terre.
Quatre magistrats de la CPI sont dans le collimateur de Donald Trump pour leurs enquêtes sur les agissements de soldats américains en Afghanistan, ainsi que ceux du proche allié israélien à Gaza.
Surpêche, pollution, réchauffement climatique… Face aux menaces qui pèsent sur les océans, il est nécessaire de prendre des mesures concrètes. Mais la rencontre qui s’ouvre lundi 9 juin à Nice, en l’absence de la première puissance maritime mondiale, ne semble guère en capacité de renverser la table.
La première Conférence Internationale sur les Glaciers s'est déroulée ce weekend au Tadjikistan, alors que 2025 a été déclarée année internationale de la préservation des glaciers par les Nations Unies. Récit, avec le glaciologue belge Denis Samyn.
À la veille de la 3e Conférence des Nations unies sur les océans (Unoc 3), où en est la gouvernance marine ? Se pencher sur l’histoire de la diplomatie des océans permet de mieux comprendre la nature des enjeux actuels : Nice doit être l’occasion de consolider un nouveau droit international des océans.

mai 2025

La Syrie a conclu jeudi un accord énergétique d'un montant de 7 milliards de dollars avec un consortium regroupant des entreprises des Etats-Unis, du Qatar et de la Turquie, pour réhabiliter son secteur électrique ravagé par la guerre. La signature s'est déroulée au palais présidentiel de Damas, en présence du président par intérim Ahmad al-Chareh et de l'envoyé spécial américain pour la Syrie, Thomas Barrack.


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